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J’ai refusé d’ascensionner – 1- L’expérience

L'ascension refusée-l'expérience de Roland Perret, énergéticien en art solaire.

J’ai rencontré un être de lumière et j’ai refusé d’ascensionner.

J’imagine que ce titre vous interpelle.  Il s’agit ici d’un podcast très important,  à mes yeux bien sûr,  et son objectif est de permettre d’éviter des erreurs très lourdes de conséquences dans nos rapports avec l’invisible.  Je considère qu’il y a trop d’ignorance dans ce domaine.  Il faut savoir que cette ignorance est volontairement entretenue par les forces de l’invisible elles-mêmes.  Ce podcast va être une piste de réflexion pour ceux qui cherchent la vérité dans ce domaine.  Il est adressé aux personnes qui cherchent à rétablir leur propre souveraineté.

L’ expérience et son analyse

Il s’agit  d’un vécu personnel, celui de cette rencontre avec une entité il y a  40 ans de cela.  Il va s’agir d’un podcast en deux parties.  Je vais d’abord vous raconter cette expérience et son contexte,  parce que pour bien comprendre,  il est nécessaire de comprendre le contexte dans lequel se passe une expérience,  quelle qu’elle soit.  Je me suis posé le bien fondé de ce refus d’ascensionner pendant 40 ans.  Aurais-je dû accepter,  finalement ?  Ou ai-je eu raison de refuser ?  J’ai enfin,  après tout ce temps,  une réponse digne de ce nom.  Et c’est dans un deuxième podcast qui fera suite à celui-ci que je développerai le fruit de cette analyse.  Cela aura pris  40 années de ma vie.

 Voilà donc l’expérience. 

Elle se passe en deux temps.  Le premier temps est l’expérience que j’ai appelée la salamandre.  Bien sûr,  je vais m’expliquer.  Mais d’abord,  il faut revenir sur le contexte de ma vie personnelle à cette époque.
J’ai déjà évoqué la très grave dépression nerveuse dans laquelle était tombée ma compagne que je chérissais avec vraiment beaucoup de force.  Cette dépression nerveuse a été la cause d’un effondrement de ma vie.  La femme que j’aimais est devenue folle en trois jours.  C’est un terme un peu désuet peut-être,  mais le plus adéquat,  le plus compréhensible directement.  Cela en montre la gravité.  J’étais donc absolument effondré et je venais de mettre  Béatrice à l’hôpital psychiatrique.  J’étais dans un état de très grande tristesse,  d’abattement. D’ un naturel plutôt optimiste et plutôt enjoué, je n’arrivais pas à intégrer l’importance de cet événement et j’avais le sentiment que ma vie entière m’échappait,  que tout le bonheur que nous pouvions vivre venait de s’envoler peut-être définitivement.

L’archange de l’auto-école


C’est dans cet état d’esprit que,  regardant par la fenêtre,  je vois une voiture d’auto-école qui fait ses manœuvres avec l’apprenti conducteur en contrebas de la maison dans laquelle j’étais.  Cette auto-école arborait sur ses portières le nom de son propriétaire,  c’était « Auto-école Michel ».  Voilà,  rien de bien particulier.  Mais dans l’état dans lequel j’étais,  dans l’état,  on pourrait dire,  d’effondrement psychologique dans lequel j’étais,  et peut-être dans l’attente d’un secours  ou dans l’attente d’un signe,  oui, j’espérais  un signe.  À cette époque-là,  je croyais que la vie nous apportait des signes,  des éléments indicateurs qui nous permettaient de nous diriger dans la vie.  J’avais cette croyance que j’ai abandonnée aujourd’hui.  Je regarde cette auto-école Michel et je « comprends »,  j’ai cette espèce d’intuition qui me dit Michel…  Saint Michel…  Saint Michel c’est Michael…  c’est l’archange,  il va se passer quelque chose!  C’est le symbole de l’archange Michael,  d’un ange annonciateur qui est là.  en bas de la maison,  qui me fait signe en quelque sorte.  Et j’ai ce sentiment qu’il va se passer quelque chose.  J’ai la certitude d’avoir reçu  un message de l’invisible.  Là,  j’ai ma partie raisonnable,  mon intellect,  qui n’était pas totalement anéanti,  qui réagit en quelque sorte.  Et je me dis,  « Attends,  Roland,  c’est quand même bizarre,  cette histoire.  Il y a une auto-école qui passe,  et puis ce serait un message pour toi… »  et dans ma faiblesse mentale,  dans ma confusion,  je me dis finalement que la réponse à cette question,  c’est le conducteur de l’auto-école qui doit le savoir lui-même,  n’est-ce pas ?  Est-ce qu’il sait qu’il est l’archange Michael pour moi et qu’il me délivre un message comme quoi il va se passer quelque chose,  peut-être quelque chose qui va sauver notre couple ?  Il n’y a qu’une manière de le savoir,  c’est d’aller lui demander!  Je traverse la cuisine,  je mets la main sur la poignée de la porte…  je m’apprêtais à descendre,  demander au moniteur de l’auto-école s’il savait s’il était l’archange Michael ou pas.  C’est là que je comprends, la main sur la poignée,  je comprends comment cette personne va me prendre pour un fou.  Et je comprends aussi que c’est absolument inutile et que c’est socialement inadmissible.  Et ce n’est pas comme ça que ça marche.  Et là,  je me dis,  « Là,  Roland,  là,  tu déconnes! «   Là,  il y a quelque chose qui ne va pas.  Je lâche la poignée, je reste sagement dans la pièce et je laisse partir l’auto-école.  Ensuite,  je me dis,  c’est quand même étrange.  Mon comportement est bizarre.  Comment ai-je pu en arriver à me mettre ainsi dans une forme de danger social ?  Qui sait si ce moniteur d’auto-école allait appeler le SAMU ou tout simplement me prendre pour un fou ?  En fait,  c’est un acte de folie.  Pourtant,  je ne suis pas fou,  je n’ai pas d’hallucinations.  Voilà,  je me sens dans un psychisme plutôt sain.  Bon,  certes,  il y a cette croyance en les signes.  Mais bon,  en tout cas,  mon vieux Roland,  là,  il y a quelque chose qui ne va pas.  Il faut que tu te calmes.

La salamandre


La journée passe tristement et ma belle-sœur me fait une proposition.  Ma belle-sœur ne me portait pas dans son cœur,  pourtant.  Elle me considérait comme responsable de la maladie de sa propre sœur.  Et je ne lui en ai jamais voulu.  À cette époque,  il n’y avait pas de connaissances au niveau social,  au niveau général,  de ce phénomène.  Il n’y a pas si longtemps.  On cachait les personnes dépressives dans les familles.  Et il n’y avait pas de vedettes qui témoignaient de leur état dépressif.  Çà,  ça a commencé dans les années 2010 environ,  où il y a eu certains témoignages publics.  C’est donc uniquement vers cette période qu’on a pris conscience que  n’importe qui pouvait se retrouver en état dépressif.  C’est à cette époque qu’on a  découvert que les états dépressifs pouvaient arriver à tout le monde.  Ce qu’on appelle maintenant entte autres le burn-out et on sait qu’il y a différents degrés de maladies psychiques.  Je ne veux pas rentrer dans le détail,  mais psychologiquement,  souvent,  on cherche un responsable pour se soulager d’un poids lorsque les événements sont trop forts. J’étais un petit peu,  ou même pas un peu,  mais j’étais vraiment le bouc émissaire de la situation.  Donc c’était assez surprenant que cette personne me propose de m’emmener.  Peut-être avait-elle pitié de ma souffrance,  je ne sais pas,  mais elle voulait m’emmener à une soirée où un thérapeute faisait un stage dans les Vosges,  dans ces montagnes emplies de forêts,  là en Alsace.  Et donc j’accepte et nous roulons en voiture silencieusement jusqu’à ce lieu.  La nuit était tombée,  il y avait beaucoup de monde.  Une partie de ces personnes préparait le repas dans leur réfectoire et une autre attendait autour d’un feu.  Et je m’assieds là à regarder un peu hébété les flammes de ce feu.  Au-dessus des flammes,  il y avait des escarbilles.  Vous savez,  ces petites étincelles qui virevolent au-dessus des flammes.  C’est là qu’il s’est passé quelque chose que je n’ai jamais compris.  Soudain,  une de ces escarbilles saute dans ma poitrine !  Je la vois sauter dans ma poitrine au point où je regarde mon torse,  je me demande si je me suis brûlé quelque chose.  Il n’y avait rien,  aucune brûlure.  Mais surtout,  j’ai été pris d’un sentiment extraordinaire de force,  comme d’une force vitale,  comme d’une nouvelle  puissance intérieure.  De mon état d’abattement,  j’étais passé brutalement à un état rempli de sérénité,  de force intérieure,  avec l’intuition de capacités nouvelles.  Eh oui !  Je ne suis pas clairvoyant,  je n’ai jamais rien vu jusque-là dans ma vie en tant que phénomène étrange de ce type.  Et pourtant,  une escarbille a sauté dans ma poitrine,  dans mon cœur,  je dirais.  Ce phénomène,  je ne le comprends pas.  Plus tard,  je l’ai nommé   la salamandre. Vous savez,  en référence à ce nom qu’on donne aux esprits du feu.  Mais je ne sais rien de ce qui s’est passé là.  Et si des auditeurs de ce podcast entendent ce récit et ont des informations vécues  à me donner à ce sujet,  elles seraient vraiment les bienvenues dans les commentaires,  par exemple.  Voilà,  je suis donc là,  assis près de ce feu.  Et je suis passé de cet état de tristesse absolue à un état de redressement intérieur,  de puissance intérieure,  je ne peux pas dire autrement.  Au point que très rapidement,  dans la foulée,  je sens que j’ai une capacité.  J’ai la possibilité d’émaner à partir de mon cœur,  à partir de ma poitrine,  quelque chose comme un rayon.  qui pourrait aller dans le cœur des autres personnes,  là autour du feu,  et les amener à un état supérieur,  à un état de bien-être,  à un état à minima plus joyeux.  J’ai cette intuition et je la teste.  J’envoie donc mon rayon,  une personne après l’autre,  à toutes ces personnes que je ne connais pas.  Et il me semble que ça change quelque chose en eux.  Au point que  je vais aller demander un téléphone.  À l’époque,  il n’y avait pas de portable.  Et donc je trouve un fixe qui était là à disposition dans le bâtiment pour appeler le frère de ma compagne.  Pour lui dire,  « Voilà,  tout va bien,  ne t’inquiète pas.  Demain,  je vais à l’hôpital,  je vais la guérir! »  Bon, b ien sûr,  il ne m’a pas cru.  Mais ce n’était pas grave,  j’étais persuadé d’avoir une capacité supérieure,  quelque chose d’extraordinaire.  C’est l’heure de passer à table et nous nous retrouvons au réfectoire.  Donc,  ma belle-sœur est assise en face de moi et nous sommes entourés de beaucoup de personnes, sur  plusieurs tables alignées.  Bien sûr,  je continue mon entraînement.  Je me disais qu’ il fallait que je m’entraîne si je voulais,  le lendemain,  aller sauver ma compagne.  Il fallait que je vérifie.  Donc,  sur une personne après l’autre,  pami celles qui sont à ma portée de vision,  j’envoie mon fameux rayon.  Et puis,  je le projette vers ma belle-sœur en face de moi.  Je vous rappelle dans quelle disposition psychologique elle était à mon égard,  on va dire plutôt négatif.  Donc j’envoie mon rayon,  5 ou 10 secondes.  Elle avait la tête penchée,  le dos courbé au-dessus de son assiette de soupe.  Elle était bien sûr abattue et très triste.  Donc, après quelques secondes de cette émission de rayons,  elle lève la tête,  me regarde droit dans les yeux,  et me dit cette phrase étonnante,  elle me dit,  « Roland,  je n’ai plus peur de toi ! »  Je suis estomaqué.  D’abord,  je comprends à quel point j’ai la confirmation de l’efficacité de mon nouveau pouvoir,  appelons-le comme ça.  Et surtout,  je suis très étonné d’apprendre qu’en fait,  elle avait peur de moi.  Je vous rappelle,  on n’avait pas de dialogue,  on ne parlait pas vrai,  on se limitait à des choses comme ça,  pratiques du quotidien,  lorsqu’il fallait qu’on ait des échanges,  pour que sa colère envers moi n’explose pas.  On en était à peu près dans ce rapport-là.  Donc je suis vraiment conforté dans cette capacité extraordinaire.  Et je continue à la tester tout autour de moi.  Ça marchait sur tout le monde,  je le voyais bien.  Je commençais à reconnaître des fluctuations,  des mouvements de tête,  des mouvements du corps qui montraient qu’il y a quelque chose qui respirait mieux,  quelque chose qui était de l’ordre d’une forme de libération intérieure.  Or, il y avait juste une personne avec laquelle ça ne marchait pas.  Et je me disais,  ce type-là,  il est vraiment bouché!  Alors,  j’envoie un peu plus de force,  j’intensifie mon rayon.  Ne me demandez pas comment j’étais capable de ça mais  J’intensifie mon rayon et toujours rien.  Voilà,  bon,  ce gars-là,  il est irrécupérable,  tant pis.  Je me dis qu’il faudrait que j’essaye sur ce fameux thérapeute qui est présent,  que tout le monde, que tout le monde respecte énormément.  Je me dis tiens voilà,  là il faudrait que je puisse essayer,  mais je ne le connais pas,  je ne le vois pas.  Je demande à ma voisine de table,  « Mais alors il vient quand ? »  Et la personne dit « Mais il est là! »  Et elle me montre cet homme,  celui qui était bouché,  celui chez qui ça ne marchait pas !! 

L’homme bouché télépathe

Il était assis en face de moi,  mais trois ou quatre places décalées sur la droite.  Là, je ne comprenais plus.  Qu’est-ce qui se passe ?  Je le regarde.  Lui, remarque mon regard et nous nous retrouvons les yeux dans les yeux pendant de longues secondes.  Pendant ces secondes,  moi j’étais dans l’attitude de…  Comment pourrais-je vous dire ?  C’était « Accepte,  accepte,  accepte la lumière que j’envoie. Arrête d’être bouché,  reçois-la,  arrête de bloquer! »  Vous imaginez,  ces deux êtres qui ne se connaissent pas qui se regardent longuement dans les yeux,  c’était déjà quelque chose de particulier.  Voilà qu’il baisse la tête.  Je me dis,  « ah ça y est,  enfin il s’incline,  enfin il s’incline devant ma nouvelle puissance là,  enfin il accepte la lumière,  ça va être bien pour lui ».   En fait,  il a baissé  le regard,  certes,  mais c’est pour se renseigne auprès de sa voisine.  Il lui demande,  j’entends qu’il dit,  « J’ai entendu parler de personnes qui étaient  dans la détresse,  qui ont venues nous rejoindre ».  Elle leur dit,  « Voilà,  c’est ces deux personnes-là »,  en nous désignant.  Lui se met à alors parler à ma belle-sœur.  Comme il y avait beaucoup de brouhaha dans la salle,  il est obligé d’élever un petit peu la voix pour qu’elle l’entende,  donc il parlait assez fort.  Et il lui dit des paroles d’apaisement.  Il dit « Tout va aller bien,  ne t’inquiète pas,  voilà,  ça va aller,  ça va aller… »  des paroles d’apaisement.  Moi je suis troublé,  je ne dis rien,  et tout d’un coup j’entends dans ma tête: «   Arrête ça tout de suite,  tu es malade.  Arrête ça tout de suite,  tu es malade! »  Alors là,  c’est la surprise.  Je sais,  je comprends que c’est cette personne qui disait ça,  par une forme de télépathie,  je suppose.  Et dans un premier mouvement,  je me révoltai contre cet ordre qui m’était intimé.  Et puis je réfléchis un peu rapidement. je  me dis:  bon,  là il y a un être en face de moi qui visiblement a des compétences, comme cette  la voix dans ma tête,  des compétences télépathiques que je n’ai pas.  Il est peut-être plus avancé que moi,  il me dit d’arrêter ce que je suis en train de faire,  donc la prudence me demande d’arrêter.  Ok!  je mets mon pouvoir,  ma capacité, en stand-by et j’arrête les projections de mon rayon.  Un peu plus tard,  nous quittons ces gens-là,  nous sortons le réfectoire pour retrouver la voiture.  Sur le retour,  je demande à ma belle-sœur  « Mais tu as entendu ce qu’il m’a dit ? »  Elle répond «   Mais il ne t’a absolument pas adressé la parole ! »  Je ne lui ai pas raconté ce qui m’était arrivé,  c’était trop inexplicable.  Voilà pour la première partie de l’expérience.  Le meilleur reste à venir.

Le souffle puissant de lumière

  Le lendemain…  Je décide de ne pas aller à l’hôpital voir ma compagne.  Je suis un peu perturbé,  un peu troublé par les événements de la veille et je ne sais plus trop quoi penser.  Je décide de passer à autre chose et de m’occuper de mon travail.  J’ai une commande d’illustration pour une couverture de bande dessinée.  Le travail ne me plaît pas du tout,  ce n’est vraiment pas beau ce que j’ai à représenter,  mais voilà,  je m’applique,  je m’applique.  J’ai du mal d’ailleurs à rentrer dans la concentration,  mais je m’efforce de rentrer dans la précision de mon trait pour échapper à des pensées intrusives,  pour échapper au poids  émotionnel  des événements qui sont en ce moment tellement puissants dans ma vie.  Je suis au dernier étage sous les combles de cette grande maison.  C’est l’été,  la fenêtre est ouverte. 
C’est là que soudain,  un souffle entre par la fenêtre !  Je ne peux pas dire autrement qu’un souffle.  Je ne vois rien.  Mais je ressens ce souffle.  C’est un souffle immatériel.  Mais ce souffle m’imprègne et me remplit.  Il me remplit tellement.  Il me remplit complètement d’un sentiment très difficile à exprimer.  Un sentiment de bonheur absolument incomparable.  Hum…  Comment pourrais-je l’exprimer ?  Si vous imaginez la plus grande joie que vous ayez pu avoir dans votre vie,  un moment de plaisir intense,  extrême,  multipliez-le par dix,  par cent,  par mille,  pour avoir une idée de ce que je ressentis à ce moment-là.  C’était comme un sentiment paradisiaque,  un bien-être total absolu,  un bien-être absolu.  Je me sentais extraordinairement bien.  Les mots sont faibles pour décrire ce ressenti.  Et j’insiste sur la puissance,  la puissance incommensurable de ce sentiment qui m’enveloppait,  ou plutôt qui me  poussait de l’intérieur.  Et ce n’est pas une voix que j’entendais,  mais il y avait cette notion,  ce concept très clair de  « Si tu veux cela,  si tu veux que cet état reste permanent en toi,  il suffit que tu le veuilles,  il suffit que tu dises oui.  Il suffit de faire comme un pas en avant! »  C’est comme ça que je ressentais.  Là,  j’ai mon intellect qui s’éveille,  j’ai un choix à faire.  Il est presque impossible de comprendre à quel point cette envie,  ce besoin,  ce désir était irrépressible de pénétrer,  de faire ce pas en avant,  pour entrer et rester,  selon cette promesse,  à demeure dans cet état bienheureux.  Quelque chose me disait que si je dis oui à cela,  j’aurai une telle force intérieure que je pourrais sans doute aider ma compagne hospitalisée.  Ce serait un changement radical et fondamental dans ma vie.  Aujourd’hui,  je mets le mot d’ascensionner.  Parce que c’était vraiment comme de passer à un autre étage de mon propre être.  Et donc j’ai ce choix à faire.  Je peux accepter ou je peux refuser.  Je suis totalement libre d’accepter ou de refuser.  J’ai très envie,  je le répète,  plus que très envie d’accepter.  C’est presque impossible de refuser.  Mais avec difficulté…  Je réfléchis,  je me sers de ma pensée.  C’est difficile tellement cette vague est puissante en moi.  Et je lève en moi des doutes.  Je ne suis pas religieux,  j’ai rejeté la religion catholique de ma naissance,  avec vigueur d’ailleurs.  Je ne pense pas avoir de poids à ce niveau-là,  de poids culturel.  Mais j’ai étudié les textes sacrés,  pas seulement celui de la Bible,  mais d’autres aussi.  Et cet événement m’a fait penser à la tentation du Christ dans le désert.  Vous savez,  là où  Satan propose à  Jésus, quand il lui dit  « Voilà,  tu vois ce paysage,  il lui montre une contrée immense et lui dit,  si tu le veux,  tout cela peut être à toi,  ça peut être ton royaume ».  Et c’est là que Jésus lui dit,  je ne sais pas si c’est là qu’il a dit « Vade rétro satanas » mais voilà,  il l’a refusé.  Donc il y a çà qui me revient,  non pas en tant que pulsion religieuse à laquelle il faut se conformer, mais  plutôt le concept d’un piège tendu.  Voilà,  un piège de pouvoir.  Et là,  de manière évidente,  c’est une forme de pouvoir,  ce pouvoir d’être qui m’est proposé.  Donc là,  j’ai un doute.  Mais j’ai en même temps conscience que ça peut être complètement faux et ça peut être tout à fait intéressant,  positif.  Ce n’est peut-être pas un piège…  Bon,  mais j’ai un autre élément.  La veille…  Il y a quand même eu l’épisode du pseudo Saint-Michel qui me montre que je n’étais pas dans un grand équilibre psychologique,  pour le moins.  Il y a l’expérience de la salamandre,  il y a eu surtout cette personne qui m’a dit « Arrête,  tu es malade ».  Donc voilà,  qui renforce mon doute.  Je suis peut-être malade,  peut-être…  un piège,  il y a peut-être quelque chose qui ne fonctionne pas chez moi peut-être que cette proposition, aussi séduisante et aussi irrésistible soit-elle, n’est peut-être pas une bonne idée et  là je réponds intérieurement, 


« Je n’irai pas tant que ma compagne  ne sera pas guérie! »

Parce que ce qui me semblait aussi étrange,  c’est de me retrouver dans une espèce de paradis alors que la femme que j’aimais était dans un enfer.  Il y avait quelque chose qui,  là aussi,  me paraissait un peu louche.  Donc,  je refuse,  je dis non,  je fais ce choix.  Et là,  instantanément,  le souffle ressort,  tout disparaît!  l’impression qu’il ressort par la fenêtre,  je n’en suis plus très sûr,  mais peu importe,  tout disparaît.  Je reste tremblant,  je suis terrassé par cette expérience.  Il faut que je m’assieds,  il faut que je retrouve mes esprits,  que je retrouve presque mon corps,  le sentiment de mon corps,  je ne sentais presque plus mon corps,  enfin voilà,  ça a été extrêmement puissant.  Donc j’ai refusé,  ce que j’ai décidé d’appeler aujourd’hui une ascension.  Mais tout de suite après,  je me suis demandé,  mais qu’ai-je fait ?  Aurais-je dû accepter ?  J’aurais peut-être été capable d’aider,  de voir,  de sauver la personne que j’aime.  Est-ce que j’ai bien fait de refuser ?  Les années ont passées et j’ai rencontré des enseignants spirituels,  j’en ai rencontré un à qui j’ai pu poser la question,  il m’a dit « Tu as mal agi,  tu aurais dû accepter,  en aucun cas on ne refuse un cadeau du ciel pour des contingences horizontales,  matérielles,  serait-ce pour quelqu’un de sa propre famille.  Tu aurais peut-être fait un petit séjour d’un certain temps dans un asile psychiatrique,  mais tu aurais dû ».  Donc pendant 40 ans,  je me suis posé cette question.  Est-ce que j’ai bien fait de refuser ?  Est-ce que j’aurais dû accepter ?  Qu’est-ce qui se serait passé ?  Alors là,  nous arrivons à la fin de ce premier podcast,  celui qui relate cette expérience,  ou plutôt cet enchaînement d’expériences.  Dans un deuxième podcast,  je vais vous fournir mon analyse et la réponse que je pense enfin avoir trouvée après toutes ces années. 

Qu’auriez-vous fait ?

Mais en attendant,  je vous laisse vous poser la question à vous-même.  Qu’est-ce que vous auriez fait ?  Que feriez-vous s’il y a une lumière extraordinaire qui se présente à vous et vous offre tous les trésors du monde,  vous offre exactement ce que vous désireriez le plus au monde ?  Comment agirez-vous ?  Que ferez-vous ?  Que ferez-vous en face d’un être de lumière, devant une apparition ?  Voilà,  c’est une question que je vous pose en attendant de vous fournir mon analyse.

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J’ai refusé d’ascensionner – 2- L’analyse

l'ascension refusée-2-l'analyse de Roland Perret, énergéticien en art solaire.

L’analyse de de l »expérience

Si vous n’avez pas écouté le premier podcast « L’ascension refusée-1-l’espérience »,   je vous conseille vivement de l’écouter avant celui-ci,  puisque ce podcast en est l’analyse,  en tout cas les résultats de mon analyse.  Donc, à la fin du premier podcast,  je vais ai proposé de réfléchir un petit peu à cette idée.  Est-ce qu’il a été juste pour moi de refuser cette aide invisible,  puissante,  quasiment impossible à refuser ?  Ou alors aurais-je dû l’accepter ?  Alors peut-être vous êtes-vous fait une opinion dans un sens ou dans un autre.  En tous les cas,  ici,  je vais vous expliquer pourquoi je pense que c’était un piège et pourquoi j’affirme avoir eu raison de renoncer à ce cadeau que j’estime empoisonné. 

Les cibles de la manipulation

Nous avons déjà parlé des parasitages négatifs des entités.  Vous savez,  ceux qui font aller mal certaines choses dans notre vie,  dans notre corps,  dans nos énergies et qui sont relativement…  bien sûr,  relativement aisés à déceler à condition d’être informé.  Mais là,  il s’agit d’un parasitage qu’on pourrait appeler positif.  C’est-à-dire une manipulation qui vous fait aller très bien,  au moins au début,  le temps de vous ferrer avant de se révéler plutôt grave et avec des conséquences insoupçonnées.  Des personnes positives,  sensibles, des croyants religieux,  des chercheurs spirituels et même des personnes qui ont un bon niveau spirituel sont la cible de ces manipulateurs.  Je me propose de vous montrer comment ça marche.

Les circonstances personnelles

  Alors,  pour la démonstration,  il y a une chose importante à savoir.  C’est celle de mon évolution personnelle sur le plan de l’esprit.  Non pas pour m’en vanter ou faire croire quoi que ce soit,  mais pour simplement étayer ma démonstration.  Pour essayer,  à cette époque,  de soigner ma compagne,  je me suis tourné vers des thérapies alternatives et j’ai rencontré des enseignants spirituels en chair avec lesquels j’ai vraiment appris beaucoup de choses.  Avant d’adopter pour elle une technique comme le rebirthing,  par exemple,  comme je la savais fragile,  je testais d’abord moi-même la méthode ainsi que la qualité de l’enseignant.  C’est d’ailleurs à ma grande surprise que j’ai découvert en moi-même des contenus lourds dont je me suis débarrassé grâce à ces diverses méthodes.  J’ai donc énormément travaillé sur moi,  aux côtés de ma compagne et sans elle plus tard.  J’ai eu aussi ce que je considère comme des réalisations spirituelles,  comme ce que j’ai appelé l’expérience de l’Atman,  dont je relate l’expérience sur mon site Revelationducœur, si cela vous intéresse.  Certaines facultés.  se sont développées en moi comme la possibilité de transmission de lumière énergétique.  Voilà,  je n’ai pas la place et ce n’est pas l’endroit pour parler de ces capacités et de mon évolution propre.  Alors,  dans l’expérience dont nous parlons,  il y a un point remarquable.  Vous vous rappelez la description de cet état d’extraordinaire bien-être que me proposait l’entité ?  Le sommet du bien-être que l’on peut vivre,  multiplié par 10 000 ? Eh bien,  j’accède aujourd’hui et depuis quelques années à cet état.  Ou plus exactement,  je peux déployer cet état lorsque je le désire ou lorsqu’il y en a besoin.  C’est la même vibration que ce qui m’a été proposé il y a 40 ans.  Certes,  c’est important,  l’intensité est moindre,  moins fulgurante,  moins exubérante,  moins exultante, ce qui peut s’expliquer du fait de l’incarnation,  de la lourdeur du corps,  et aussi,  par ailleurs,  parce qu’un développement spirituel  est infini et personne ne sait dans quelles hauteurs nous sommes capables,  nous,  êtres humains,  de nous élever. 

 

Bon,  j’ai bien refusé le cadeau,  n’est-ce pas ?  Je ne me suis pas retrouvé du jour au lendemain dans cet état suite à l’expérience.  Et pourtant,  je peux dire aujourd’hui que j’ai réalisé cela,  au moins en grande partie.  C’est étrange,  non ?  J’ai fini par comprendre comment fonctionne le piège.  Oui piège,  parce que le « oui »,  l’acquiescement,  est une permission pour les entités de vous encombrer,  de vous poser des implants,  de vous influencer plus ou moins ouvertement lorsqu’elles se font passer pour des guides notamment.  Tout d’abord,  et c’est un des critères de la manipulation,  c’est que j’étais dans un état de choc émotionnel suite à l’internement de ma compagne.  L’état d’effondrement est la condition idéale pour les entités éthériques qui le repèrent facilement.  Jusque-là,  rien de nouveau.  Et les parasitages négatifs fonctionnent toujours de cette manière.  Il faut une faille.  Cela est déjà l’indice de conditions douteuses pour une réalisation spirituelle lumineuse.  Mais soit ce n’est pas une preuve de la manipulation en soi.  Alors,  voilà l’information la plus importante:  

L’être m’a proposé ce que j’étais dans ma partie subliminale.

Je répète,  l’être m’a proposé ce que j’étais dans ma partie subliminale.  Il m’a fait une « proposition que je ne pouvais pas refuser ».  Un peu comme dans le film « Le Parrain » de Francis Ford Coppola,  si vous l’avez vu.  Bon,  cela demande des explications.  Il faut comprendre la structure en poupées russes de l’être que nous sommes.  Je suis désolé de ne pas avoir le temps ici de développer cette vision des choses.  Elle va donc être assez sommaire,  un gros résumé en somme.  Donc,  tout d’abord,  nous sommes un être indestructible,  immortel,  issu de l’océan cosmique.  Cet être se caractérise par  les qualités de conscience,  d’intelligence et de volonté.  Mais il n’a pas de corps de manifestation.  Il est potentialité infinie.  Il crée donc un corps,  une structure qui lui permettra d’explorer les mondes et qui porte les noyaux de l’être immortel qu’il est.  Cette structure,  on peut l’appeler « l’âme astrale ».  Elle a une durée de vie de plusieurs siècles.  Cette âme astrale,  qui n’a de cesse que d’évoluer et de croître,  va s’incarner dans des dimensions éthériques,  le plus souvent,  ou physiques.  Là,  elle a toujours la présence des noyaux d’immortalité en elle,  mais une durée de vie,  certes intense,  mais seulement d’environ un siècle.  Ainsi,  en étant incarné,  il y a notre être conscient directement perceptible,  mais nous avons une vie parallèle,  subconsciente,  qui est la vie de notre âme astrale.  Depuis notre point de vue,  nous parlons de subconscient ou de partie subliminale.  Je vous invite,  si vous ne connaissez pas,  à découvrir par exemple les enquêtes menées en hypnose régressive.  Une étude que vous pourriez faire de ces plongées télépathiques vous permettrait de comprendre que notre âme astrale a une vie propre sur son plan d’existence qui  est le sien et dont nous ne savons rien.  Il y a comme  parfois aucun rapport entre cette vie de notre âme astrale et notre vie quotidienne.  Mais pourtant,  il y a un rapport étroit entre ce que vit notre partie subliminale et notre être conscient incarné.  Nos aspirations les plus profondes,  justement,  même les plus subconscientes qui nous animent,  nos croyances inconscientes,  nos peurs,  par exemple,  trouvent sur le plan astral leurs pleines expressions.  C’est aussi le lieu favori des interférences des entités éthériques.  qui profite du manque de maturité de l’âme astrale pour la maintenir dans des états de récurrence,  obligés parfois à certaines incarnations de manière manipulée et non directement volontaire,  et énormément d’autres interférences qui impliquent des conséquences plus ou moins désastreuses dans nos vies incarnées.  Alors,  reprenons la configuration d’une personne relativement évoluée spirituellement,  comme dans mon cas,  à titre d’exemple.  Je répète,  ce n’est pas une question de vanité,  c’est simplement un cas de figure parmi d’autres, pris pour la démonstration.  Les entités sont impuissantes à interférer avec un être installé dans sa souveraineté,  dans sa liberté intérieure,  dans sa joie intrinsèque.  C’est une question de fonctionnement vibratoire.  Et pour ces entités,  cela fait du bétail inutile,  inexploitable pour elles.  C’est de la perte sèche.  Mais si cette même personne,  au cours de son incarnation,  subit un choc comme le drame que j’ai vécu,  alors elles ont toutes les chances de récupérer leur proie. 

Comment vont faire les entités ?

Elles n’ont pas directement le pouvoir créateur de se montrer en être supérieur,  de se présenter comme un maître de lumière,  d’apparaître comme Jésus en personne par exemple.  Par contre,  elles ont une forme de télépathie qui leur permet non seulement de lire le contenu du subconscient de la personne,  mais de le copier en quelque sorte.  Prenons les exemples des apparitions mariales ou encore spirites par exemple.  Elles reproduisent le contenu entier de la croyance avec les sentiments associés.  Par une forme de pression,  les entités vont gonfler le contenu du programme de la croyance  et apparaître, se faire entendre ou d’une quelconque autre manière se faire reconnaître leur présence de leur victime.  Il est important de comprendre que les personnes qui ont été victimes de ces apparitions,  mariales ou autres,  n’ont pas fait que voir,  juste voir quelqu’un ou une forme angélique leur apparaître.  Elles ont été littéralement transportées,  comme en transe,  leurs sentiments de piété,  d’adulation,  de vénération ont été programmés dans leur subconscient au fil des siècles par une manipulation qu’on retrouve au niveau social.  Eh bien,  cela explose au grand jour.  Elles sont à genoux,  terrassées par leurs visions qui sont en réalité tout simplement la lecture et l’exploitation de leur partie subconsciente,  de leur partie subliminale.  Alors voilà le piège du croyant de base,  si j’ose dire.  Mais pour un chercheur sincère de lumière,  aujourd’hui,  comment font-elles ?  Aujourd’hui,  la croyance en les figures religieuses a  perdu de sa verve.  Nous sommes sous l’influence d’une espèce de nouvelle religion qui a l’apparence d’une spiritualité libre,  comme par exemple le New Age.  Comment va faire l’entité avec ce type de chercheur ?  Je le répète,  un chercheur sincère de lumière,  qui n’a pas les figures religieuses avec lesquelles les arnaques,  les manifestations illusoires ont fonctionné jusque-là.  Ces entités ont fait une forme de mise à jour.  Et c’est la même chose.  Donc,  dans mon cas,  l’entité a lu,  dans ma partie subliminale,  une forme de liberté,  de joie,  d’expansion.  Ma personnalité physique,  consciente,  elle,  en même temps,  en était aux antipodes.  J’étais dans un désespoir.  Et puis,  j’étais aussi loin de la maîtrise psychologique que j’ai développée depuis.  L’entité a gonflé ce que je vivais et ce à quoi aspirait mon âme astrale,  ma partie subliminale,  mon subconscient,  et me présente cela comme un cadeau qu’il me suffirait d’accepter.  Qu’est-ce qu’elle voulait ?  Juste un « oui ».  Et qu’aurait permis cette acceptation ?  Eh bien,  l’autorisation de pouvoir entrer en profondeur,  plus profondément dans des parties psychiques ou plutôt éthériques de mon être.  Quelles en auraient été les conséquences pour moi,  c’est difficile à dire.  Il aurait pu y avoir une forme de folie,  une forme de dérapage psychique,  comme il y en avait les prémices.  Il aurait pu aussi y avoir une forme d’installation en moi de cet état bienheureux,  qui soit, m’aurait fait avoir une audience extraordinaire,  un groupe de fans,  qui aurait pu être intéressant pour elle,  pour l’entité. O u alors, il aurait pu y avoir autant des hauts dans la perception que des bas terribles,  ce qu’on peut voir parfois dans certains cas,  dans certains témoignages de personnes qui ont leurs propres soi-disants guides,et qui  tout d’un coup, ou progressivement,  ont l’air de se transformer en êtres parasités ou que sais-je,  mais en fait,  cela a une influence absolument pernicieuse et destructrice sur eux.  Ça fait des vies détruites.

En tout cas,  quelle arnaque incroyable !

Elle me fait penser aujourd’hui à ce petit escroc,  vous savez,  celui qui se faisait passer par un aristocrate et qui a réussi à vendre la tour Eiffel deux fois,  je crois.  Les entités te proposent quelque chose qu’elles n’ont pas.  Et même,  et c’est encore vraiment encore plus gros,  quelque chose que tu as déjà.  C’est ainsi que je me suis trouvé dans cette position extraordinaire:  Accepter l’intrusion en moi de quelque chose que je ne connais pas et qui a ses propres intérêts,  en échange de ce que j’ai déjà acquis,  tout en l’ignorant.  Alors,  je vous ai fait ce récit et cette analyse à cause des nombreux témoignages que l’on peut voir aujourd’hui,  notamment sur le net.  Ça donne des choses dans le genre,  « j’ai eu une expérience merveilleuse,  inoubliable.  À présent,  j’ai un guide dans ma vie qui me dit ce que je dois faire et comment fonctionne l’univers! ».  Sachez qu’aucun être éthérique n’a des intérêts convergents avec les vôtres.  S’il s’approche de vous,  c’est qu’il y a quelque chose en vous qui l’intéresse,  tout simplement.  Ce peut être votre énergie vitale.  Et cela peut vous amener à la faiblesse,  à la maladie.  Ça peut être votre dévotion.  Et cela a des conséquences très importantes sur,  on pourrait dire,  allez,  je vais simplifier,  la récupération de votre âme subliminale après votre mort.  Ou alors,  c’est tout simplement votre audience potentielle qui l’intéresse,  ce qui lui permet de parasiter plus de monde grâce à vous.  C’est une forme de business.

C oncevez que votre seul soutien spirituel n’est ni un dieu,  ni un guide,  mais votre propre volonté,  votre propre intelligence et votre propre capacité de travail intérieur.

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Les entités parasites

Les entités parasites par Roland Perret énergéticien

Qu’en est-il de la réalité de l’existence d’entités qui nous parasiteraient ?

Si on admet leur existence, pourquoi font-elles cela ? Quel est leur mode de fonctionnement ? Quelles sont les capacités qui permet ce parasitage ? Qu’ont-elles à y gagner ? Pourquoi ne les percevons-nous pas ? Quelle est leur influence sur notre santé physique et psychique ? Qui y échappe ? Comment s’en libérer ?Autant de questions auxquelles, dans ce podcast,  Roland Perret, énergéticien, vous proposera des réponses assorties d’exemples concrets issus de son expérience.
Vous trouverez ci-dessous la retranscription écrite du podcast.

Les entités parasites, de quoi s’agit-il exactement ? Qu’est-ce qu’il en est ?

Est-ce qu’il peut être justifié de concevoir le monde de cette manière ? Et dans l’affirmative, comment traiter cette problématique ? Ce podcast est destiné à des personnes ouvertes d’esprit, et pour le moins curieuses, et ainsi nous pourrons voir ensemble, avec autant de pragmatisme que possible, ce qu’il en est de cette question.
Le sujet des entités parasites est une affaire plutôt dérangeante dans notre société occidentale. Nous savons bien que les cultures traditionnelles, les sociétés tribales, les religions et nombre de courants spiritualistes attestent de la réalité de créatures qui vivraient aux dépens de l’être humain. L’homme occidental, et même maintenant l’homme oriental, très influencé par la culture de l’Occident, rejette tout cela comme des visions de superstitions fantomatiques qui datent d’un autre âge, un âge d’obscurantisme. Nos instruments scientifiques ne peuvent pas prouver l’existence de ces entités. De la même manière, nos instruments ne peuvent pas prouver leur inexistence.

Qui parle de ces entités ?

Nous en trouvons de nombreux témoignages chez les clairvoyants, chez un grand nombre de psychothérapeutes, dans certaines branches de la psychiatrie, et bien sûr chez des auteurs versés dans les sciences ésotériques spirituelles. Un grand nombre de personnes se dit également possédées, selon l’ancienne terminologie, elles ont l’impression d’être habitées en quelque sorte par quelqu’un d’autre, de vivre en elle des présences étrangères. Beaucoup parlent aussi d’impulsions qui sont comme induites dans leur esprit et auxquelles elles ont parfois eu le malheur d’obéir, de suivre leurs directives. Ce sujet est très tabou et peu de personnes ont le courage de s’exprimer à ce sujet. Il nous est dit également que la présence d’entités en nous peut provoquer des maladies, des problèmes à différents niveaux et être source de manque d’harmonie sur un plan général, c’est-à-dire sur le plan des événements de nos vies. La malchance, les problématiques matérielles à répétition seraient aussi le fait de certaines de ces entités.

Quelle vision du monde découle de ces hypothèses ?


Cela donne l’image d’un monde parallèle au nôtre. Mais contrairement à l’idée courante dans certains milieux spiritualistes et surtout religieux, ce monde parallèle,
ce monde différent du nôtre, ce monde non matériel, serait loin d’être une espèce d’océan de bien-être et de bienveillance. Nous avons plutôt l’impression d’un monde similaire au nôtre, avec peut-être même des problématiques identiques et des niveaux de conscience qui ne sont pas loin de l’inharmonie générale qui règne chez les humains. Naturellement, par problématiques similaires, je n’entends pas des problèmes matériels, mais plutôt des problèmes de niveaux de conscience, d’évolution, de capacités de bienveillance par exemple. Ce monde appelé communément dans le jargon spiritualiste le monde astral ou le monde de la mort est aussi souvent qualifié de monde miroir. Il y a également le terme de sphère réflectrice.
Si donc nous gardons cette idée de monde miroir avec cet axiome hermétique de « tout ce qui est en haut est comme ce qui est en bas », nous pouvons essayer d’établir des correspondances entre notre monde matériel et ce monde miroir, ce monde astral. Il y a dans notre monde physique une gamme énorme d’interactions entre les êtres humains.
Nous pourrions les réduire à des comportements, en tout cas ceux qui nous intéressent parmi ces comportements, ceux qui sont axés sur la survie et sur l’enrichissement. Là nous avons toute une gamme de comportements qui va du jeu d’influence jusqu’à la manipulation psychologique jusqu’à l’extorsion, jusqu’à une forme de criminalité.
Les créatures du monde miroir, dans cette vision des choses, n’échappent pas à cette réalité. Il y aurait toute une gamme d’entités, plus ou moins évoluées, qui va d’une conscience proche de l’animal à des intelligences très supérieures, en passant par des niveaux de conscience proches de l’état de conscience ordinaire de l’homme. Alors pourquoi ne les voyons-nous pas ? Hormis les personnes clairvoyantes ou clairaudientes, ce monde nous est caché.

Comment ça fonctionne ?

Pourquoi ce monde  nous est caché ? C’est une question à laquelle je pourrais répondre sur la base d’une expérience personnelle que je vais vous conter. Mais avant cela, il faut comprendre quelle est la raison d’être de ces entités, quelle est leur fonction, qu’est-ce qu’elles font, quels intérêts elles ont à être aussi proches de l’homme, aussi intrusives par rapport à l’homme. Avant d’aller plus loin, je tiens à dire que parmi toutes ces entités, il y en a qui sont bien sûr inoffensives et certaines tout à fait amis avec l’homme. Mais c’est une autre question, là nous traitons des parasites. On va les appeler aussi les parasites éthériques ou les animus éthériques.
Les thérapeutes qui ont cette vision des choses, ont une conception de l’évidence de ces animus éthériques, de ces entités parasites, et ont constaté une chose importante: Lorsqu’une personne est en pleine santé physique et morale, lorsque sa psychologie est au beau fixe, en quelque sorte, lorsque cette personne est en équilibre, il y a peu de chances, voire aucune, qu’elle soit infestée par une entité parasite. Par contre, si une personne a subi des chocs qui peuvent être physiques, comme des accidents, des traumatismes divers, que ce soit dans son enfance ou dans sa vie adulte, des nouvelles bouleversantes, des deuils, des chocs émotionnels de toutes sortes, s’il s’ensuit un affaiblissement marqué dans sa psychologie, un stress important, des tensions plus ou moins insupportables. Cela crée dans le système psychosensible, pourrait-on dire, dans le corps éthérique,  des failles, des trous, des manques qui attireront magnétiquement ces fameuses entités parasites. Un grand nombre de ces créatures sont attirées par une substance particulière qui extraient de l’être humain lorsqu’il est abattu, triste, lorsqu’il perd de l’énergie, comme il le dit lui-même. Et bien cette énergie n’est pas perdue pour tout le monde. Et dans ces cas précis, l’entité va pénétrer le système énergétique, s’y installer et se nourrir de ce type d’énergie particulière. Cette même entité va être capable d’influencer le psychisme humain. Il faut comprendre que pour elle, selon les descriptions que nous en avons, notre esprit, notre psychologie, notre personnalité sont un livre ouvert. Elle a une transparence à laquelle elles accèdent et elle repère nos points faibles, nos faiblesses, sur lesquelles elles peuvent appuyer pour encourager en nous la production de cette énergie particulière dont elles se nourrissent.
Comprenez-moi bien, je ne vous parle pas ici des personnes qui entendent des voix dans leur tête, nous en parlerons plus tard, mais bien de ces situations très ordinaires que nous connaissons tous,
ces situations où nous sommes pris parfois dans une espèce d’engrenage, d’agacement ou d’énervement envers l’autre qui va crescendo jusqu’à atteindre certains sommets plus ou moins virulents et ces états, des états dans lesquels nous nous mettons et que nous regrettons. Il est quand même très étonnant qu’un être humain qui se dit conscient puisse être arrivé à pouvoir prononcer des paroles et ensuite dire, penser, réaliser que ces paroles ont dépassé ce qu’il voulait dire. Je ne voulais pas dire ceci, je ne voulais pas dire cela. Comment est-il possible que l’être humain soit à ce point indigent pour qu’il ne puisse pas dire ce qu’il veut dire, penser ce qu’il veut penser? Cela s’explique par cette induction télépathique dont sont capables ces entités pour nous encourager au conflit. Là nous parlons de conflits dans le couple, dans la vie de tous les jours. Mais bien sûr, cela s’applique à des nations entières et à des conflits mondiaux. La subtilité du piège réside dans le fait que l’homme s’imagine à ce moment-là que c’est lui qui formule ses pensées, qu’elles lui sont propres, qu’elles sont justifiées en lui par sa libre volonté.
On peut se reposer la question du pourquoi ensuite il va dire que ses actes, ses paroles ont dépassé son vouloir. Il faut savoir que la télépathie est le mode de fonctionnement de base de communication de ces entités. La manipulation est d’autant plus habile et pernicieuse qu’elle est efficace. L’homme croit que ses pulsions, que ses colères, ses énervements sont dus de son fait. Or, il est clairement, selon la vision que nous pouvons en avoir, question de manipulations d’êtres invisibles. Pour prendre conscience des problèmes décrits, il faut en plus considérer une autre capacité de ces êtres: Ils sont métamorphes, c’est-à-dire qu’ils peuvent changer la forme de leur corps, la visibilité par l’extérieur de leur apparence, comme bon leur semble. Ils ont bien une forme, un corps de base, mais ils peuvent le modifier suivant leurs intérêts. Là, ce sera le cas pour des personnes qui, à cause de leur très grande sensibilité, ont par exemple des visions. Une vision de la Vierge ou d’un ange peut très bien et très certainement être un métamorphe qui se présente de cette manière en respectant la culture propre à l’individu. Un chrétien va voir Jésus ou la Vierge, un musulman pourra voir le prophète, un indien pourra voir des divinités propres à son panthéon, etc. Dans d’autres situations, si c’est plus approprié, ce sera des figures effrayantes ou diaboliques. L’essentiel étant de toute façon de pouvoir dérober des éléments contenus dans l’émotionnel débridé de l’homme. Ce n’est pas que ces créatures soient mauvaises ou veulent la destruction de l’homme. Non, bien au contraire. Elles sont bien plus comme des fermiers avec leur bétail humains. C’est-à-dire que leur objectif étant de stimuler l’excrétion de cette substance dont ils raffolent, ils vont encourager leur bétail à toujours plus de conflits afin de mieux les asservir en quelque sorte. Ils ne veulent pas la fin de l’humanité, pas plus qu’un fermier voudrait anéantir son troupeau, son bétail. Bien au contraire, ils veulent que leur bétail soit dans les meilleures conditions de manière à pouvoir obtenir ce qu’ils désirent. Ce qu’il veulent éviter à tout prix, c’est que la vache s’échappe du troupeau. Il est donc absolument nécessaire pour ces créatures qu’elles soient invisibles à l’homme, qu’il n’en prenne pas connaissance, qu’il n’en prenne pas conscience. Ce n’est pas un état extraordinaire de l’homme, c’est son état, on pourrait dire naturel malheureusement. L’être humain dès la naissance, peut-être même à cause du traumatisme même lié à la naissance, est touché par cette problématique. Il n’y a quasiment personne qui échappe à la présence en lui d’entités parasites, sauf dans le cas de figure bien sûr, où le taux vibratoire permet de se débarrasser de manière complète de ce problème. Mais nous y reviendrons. Ces créatures donc veulent absolument rester invisibles.

Pourquoi ce monde est-il caché ?

Je vous ai promis un exemple, une anecdote tirée de ma vie personnelle. Ma première compagne, qui n’est plus de ce monde, était atteinte de troubles graves d’une dépression sévère. Elle avait régulièrement des crises et des comportements choquants pour la société dans la petite ville dans laquelle nous habitions. Il arrivait régulièrement qu’elle se mette nue dans la rue ou encore pire, dans certains cas, se mettre nue dans une église le jour d’une communion. La liste est tellement longue de ces comportements aberrants que je vais en rester là. Mais lorsqu’il y avait des moments d’accalmie, les crises duraient quelques jours, puis son état se rétablissait à peu près.Lorsqu’on lui posait la question du pourquoi, pourquoi elle avait fait telle ou telle chose, on pouvait en essayer d’en parler calmement, c’était toujours le silence. Il y avait vraiment un mystère.Elle ne s’exprimait absolument pas sur le pourquoi de ses actes, en fait tout à fait catastrophiques pour sa propre vie, bien sûr, pour la vie de son entourage et très choquante pour l’alentour. Un jour, pourtant, alors que je m’étais résolu, après d’une dizaine d’années, de me séparer d’elle, la police municipale vient sonner à ma porte et me dit que ma compagne avait brisé la toute nouvelle vitre de l’église de la ville. Vous savez, ces espèces de sas en verre qui permettent un certain confort au niveau de la température. J’ai pu arranger, on va dire, la situation. Mais pourquoi ? Pourquoi avait-elle fait ça alors qu’elle se déclarait fervente ? Sa fille, qui avait 7-8 ans à l’époque, a réussi à lui tirer les vers du nez, en quelque sorte. Elle lui a confié que Jésus, donc une voix dans sa tête, lui avait dit « La porte de la maison du Seigneur doit rester toujours ouverte ». Or, elle venait d’apprendre qu’il y avait cette toute nouvelle installation de ce sas. Et suivant les injonctions, suivant les messages qu’elle recevait, elle est allée à la quincaillerie, elle a acheté une grande masse et elle a à grand coup brisé la vitre. Ses voix devaient toujours être secrètes. Elles lui soufflaient: « Ne dis pas qu’on est là, ne dis à personne qu’on est là ».
Voilà pour cet exemple. 

Deuxième exemple


C’est un ami d’enfance qui s’est essayé à une carrière musicale. Il aimait beaucoup le jazz,
mais sa vie artistique, c’était une catastrophe. Il n’arrivait pas à en vivre et il avait une vie sociale, on va dire, médiocre. Et il était plutôt malheureux de cette situation où on ne reconnaissait pas son talent. Un jour, sans doute de grande tristesse, il entend une voix dans sa tête. pour la première fois. Cette voix lui dit que qu’il était, enfin, cette voix disait « je suis un grand joueur de jazz, décédé ». Je ne me rappelle plus qui, je ne suis pas un spécialiste du jazz. La voix lui dit, « voilà, moi, ce grand artiste, je suis mort dans des circonstances tragiques et je n’ai pas eu le temps de composer certains morceaux. Si tu veux, si tu veux, je te les souffle et tu vas pouvoir écrire ces partitions, tu vas pouvoir devenir un grand artiste, tu vas pouvoir être reconnu, riche et célèbre. J’aurai la satisfaction que mon oeuvre pourra être accomplie à travers toi ». Et là, mon ami est enthousiaste et il se met à transcrire, à retranscrire, à écrire des partitions. Puis une autre voix, un autre artiste, encore un,lui aussi mort dans des circonstances tragiques. Je crois savoir que beaucoup d’artistes, à cette période, sont morts tragiquement. Peu importe, encore un autre et encore un autre. Et il n’arrête pas d’écrire et d’écrire des partitions, il y passe des nuits entières. Bon, il est heureux, il a une forme d’euphorie qui s’est installée en lui.
Mais une nuit, il se réveille brutalement ou plutôt, ce sont les voix qui le réveillent. Ces voix lui disent « Lève-toi et prend une douche glacée !” Lui réagit, mais comment, mais pourquoi ? « C’est un ordre,on te donne des partitions, tu dois obéir, tu dois prendre une douche glacée ». Le pauvre homme se lève, il obéit,
il prend sa douche glacée. « rase-toi la tête », il obéit. La voix va encore plus loin et lui dit, « va sur le palier, sonne chez le voisin », en pleine nuit bien sûr, »et dis-lui que tu as couché avec sa femme ». Quoi ? Je ne peux pas faire ça ? Les voix lui disent, « écoute, si tu ne fais pas ça, c’est fini les partitions. On ne te donne plus rien ». Et cet ami… Qu’est-ce qu’il fait ? Il va le faire. Il sonne à la porte et il dit ça au voisin. Là-dessus, le lendemain au réveil, il est en mode panique. Et c’est là qu’il vient me voir, me raconter toute cette histoire. Je ne l’avais pas vu depuis au moins 20 ans. Il me raconte ça, il me dit oui, je sais, tu as vévu ce genre de choses avec ta compagne, tu connais le problème, je ne sais pas à qui parler, j’ai peur d’aller dans les hôpitaux, chez les médecins, j’ai peur qu’on m’enferme, je ne sais pas à qui dire ça, est-ce que tu as une solution, est-ce que tu peux m’aider ? J’ai commencé par le calmer. Je lui ai conseillé de dire à son voisin qu’il avait fumé un joint et qu’il y avait un moment d’égarement, qu’il s’en excusait, que c’était toujours mieux que de faire venir une ambulance. Il s’est exécuté.

La confrontation

On a parlé un peu de ses voix, mais ce que j’ai eu l’idée de faire, parce que j’ai constaté que pour lui aussi, les voix devaient être cachées, que personne ne devait savoir, personne ne devait prendre conscience de leur présence ni de ces pseudos dons merveilleux qu’il prodiguaient. C’était comme pour ma compagne. J’ai profité d’une période hors crise de ma compagne pour les convoquer tous les deux, pour les réunir tous les deux. Ils ne se connaissaient pas. Et ils sont donc venus tous les deux dans mon salon. Deux personnes. qui entendent des voix, et chacun avait ce phénomène des voix qui veulent rester secrètes. Et là, on révèle le jeu au grand jour. Moi, j’étais un petit peu l’arbitre en quelque sorte de la situation. Mon ami a dit, « ah, elles nous font faire des bêtises ces voix ». « Oui,oui, en effet », répond-elle, « en effet, elles nous font faire des bêtises, il faut qu’on arrête ça », « oui, oui, oui, il faut qu’on arrête ça. » Et lui il dit, « moi de toute façon j’arrête, j’ai arrêté, j’ai commencé à détruire les partitions, moi j’arrête ». Elle, elle dit, « Oui, moi aussi, j’arrête ». Et puis je vois son visage se décomposer. Elle change d’attitude. Comme je la connaissais très bien, je lui demande ce qui se passe. Elle me dit, « j’arrête, sauf une ». Elle veut garder une voix. Et je lui dis, on peut savoir qui c’est ? Elle me dit, « Jésus ».
Et là, il n’y avait rien à faire. Elle avait reçu une éducation religieuse, même si elle l’avait rejetée par la suite, mais dans sa dépression, tout avait repris le dessus, en quelque sorte. Conclusion de l’affaire, le garçon, l’ami, le musicien, il a tout arrêté. Je lui ai dis, que c’était quand même un peu dommage, qu’on aurait pu voir ce qu’il en était de ces partitions. Il a tout détruit, mais à mon avis, de toute façon, ça ne valait rien du tout. Mais bon, on ne saura jamais. Il s’en est sorti, mais malheureusement, pour ma compagne, elle voyait les nuages se déformer dans le ciel, prendre la figure de Jésus, lui parler, et ainsi de suite. Son histoire a mal terminé, malheureusement et elle nous a quité très tôt.
Là,
nous avons une flagrante illustration du métamorphisme de ces êtres et du côté pernicieux et traître de leur faculté télépathique. Je me suis rendu compte plus tard que cette confrontation entre des personnes qui entendaient des voix avait été inaugurée en ethno-psychiatrie. Voilà, si ce sujet vous intéresse, vous trouverez la piste de ce genre de cas. Voyez notamment les travaux de Toby Nathan.

Similarité dans le monde physique

Si c’est la première fois que vous entendez ce type de récit, vous aurez peut-être eu, ou vous avez peut-être une forme de dégoût, un réflexe qui pourrait vous inciter à dire non, ce n’est pas possible, on ne trouve pas un tel tableau dans la nature.
Nous avons parlé tout à l’heure du parallélisme entre le monde physique et le monde astral. Alors est-ce que nous avons de tels comportements dans notre vie animale par exemple ?

La blénie à dents de sabre

Eh bien, je vais vous en donner un. Connaissez-vous la blénie à dents de sabre ?
Je suppose que non, ce petit animal, c’est un petit poisson, n’est pas des plus connus. Alors, vous avez certainement vu dans des documentaires animaliers, ces stations de nettoyage de certains poissons. Vous savez, les poissons sont comme ces pachydermes dans la savane qui se font nettoyer par des plus petits animaux qu’eux. Alors imaginez un poisson clown, par exemple, qui vient dans une de ces stations de lavage où des petites blénies, des labres, viennent les nettoyer. Alors ce sont des petits poissons d’à peu près 10 cm de long, tout fins. Ils sont couleur bleue, voilà, avec une rayure. Et ces petits poissons vont nettoyer les écailles. Voilà, c’est un échange de bons services. Le poisson clown se retrouve nettoyé de ses petits parasites et le labre c’est nourri de ces petits déchets. Mais voilà qu’intervient la blénie à dents de sabre.  Alors cette blénie, c’est pareil, elle a une forme à peu près similaire. C’est un petit poisson qui a aussi 10 cm de long. Elle n’a pas la même couleur, elle n’est pas bleue, elle est jaune avec une rayure. Et elle a surtout des dents de sabre. Au microscope, elle a une bouche plutôt d’un monstre avec deux grandes dents. Eh bien, il se trouve que cette blénie à dents de sabre, appelé aussi le faux nettoyeur, est capable de se transformer. Il change de couleur et de jaune, il devient bleu. Et ainsi, il est quasiment eu tout point pareil au labre nettoyeur, suffisamment semblable pour qu’il puisse se rapprocher des plus gros poissons. Une fois qu’il s’en est rapproché, il va planter ses dents et arracher les écailles de ses poissons. Une fois son forfait accompli, Il retrouve sa manière de nager parce qu’il avait imité, même jusqu’à son jeu de nageoires, l’autre labre nettoyeur. Et donc, il reprend sa vélocité avec ses autres jeux de nageoires, va se cacher et retrouve dans des trous de coraux, tout ça, ça se passe dans les coraux du Pacifique, il va retrouver sa couleur originelle.
Là, vous voyez ce mimétisme prédateur comme il existe dans notre nature. Nous allons pouvoir maintenant aborder une chose très importante par rapport à ses fonctionnements et qui peut être à notre avantage.

La notion de pacte

Ces créatures sont irrégulières en quelque sorte. Elles n’ont pas leur place dans l’ordre des choses. Elles ont des comptes à rendre par rapport à leurs activités. Mais nous avons vu qu’elles étaient pourvues d’une certaine intelligence. Et donc, elles peuvent se targuer que l’homme est d’accord pour être traité de la sorte. Alors voilà, si nous reprenons l’exemple de mon ami musicien, nous voyons très bien qu’il y a une forme de contrat. Voilà, on est tout à fait dans le mythe de Faust avec le contrat avec le diable, c’est-à-dire qu’on lui propose quelque chose, là, les partitions, et on le ferre en quelque sorte grâce à son désir. Peut-être qu’il y avait aussi une forme de vanité et d’orgueil basé sur ses blessures. Bref, il est d’accord. Il est d’accord pour recevoir des choses de ce monde invisible, recevoir ses partitions. Petit à petit, l’échange se durcit. Tout d’un coup, voilà, si tu veux que ça continue, il va falloir que tu fasses ça et que tu fasses ça, sinon ça va s’arrêter. Ce n’est pas venu tout de suite, mais ce qui compte, ce qui est intéressant dans cette histoire, c’est la notion de contrat. À un moment donné, il faut être d’accord. Alors, ce type de contrat il peut se passer sur le plan conscient, lorsque l’individu est conscient, un petit peu comme l’exemple biblique du Christ dans le désert avec le diable, qui lui propose une immensité, une grande richesse en échange de son asservissement. Il y a quelque chose de cet ordre-là. Mais malheureusement pour nous, il y a une forme de contrat qui nous est soutiré. Je pense notamment à notre vie de rêve.
Dans la vie de rêve, il se peut que parfois nous soyons amenés à signer des documents ou à prendre des véhicules dans certaines directions sans que nous puissions conduire. Nous sommes emmenés dans tel ou tel endroit. Le fait de donner notre acquiescement dans le rêve sans notre conscient est pour ces entités, fait figure d’autorisation.
Le contrat, ça c’est la bonne nouvelle, c’est-à-dire que c’est un contrat qui est fait sans le témoin de notre conscience. C’est là que c’est intéressant. Pour toute chose importante, pour tout contrat à signer dans notre vie matérielle, il faut, comme un mariage par exemple, il faut un témoin, au minimum. Là, le contrat dans la vie de rêve, est signé de manière inconsciente. Donc, il est caduque. Nous pouvons par rapport à des lois, à des lois de ces autres mondes, on pourrait dire des lois cosmiques pour simplifier, mais tout ça demanderait vraiment d’être approfondi. Ces contrats, nous pouvons les déchirer. Mais pour cela, il faut prendre conscience qu’il y a contrat, qu’il y a entité extérieure à nous. C’est tout un processus qui permet ce genre de libération. D’où la nécessité de démasquer ces entités. Certains ont rappelé ça le grand mensonge.

La naïveté humaine

Il est important d’en prendre conscience et de sortir d’une forme de naïveté. Naïveté qui consiste à penser que tout ce qui vient du ciel est béni, que tout ce qui vient des mondes invisibles est bon pour l’homme, est bienfaisant pour l’homme. Un peu comme on le voit sur le plan politique, on sourit peut-être un peu devant la naïveté de certaines personnes qui pensent que les États font tout pour eux, pour leur bien-être.Alors qu’on sait très bien, lorsqu’on étudie ces choses avec un peu plus d’acuité, un peu plus d’intelligence, qu’il s’agit de lutte d’intérêt. Il n’y a pas de bienveillance absolue de l’État. Si vous allez faire des actes à l’encontre des intérêts de l’État, vous allez voir ce qui va vous arriver, n’est-ce pas ? C’est pareil pour les mondes invisibles. Il faut sortir de cette naïveté. Ça ne veut pas dire que tous les mondes spirituels sont mauvais ou négatifs, pas ça, mais il y a vraiment une tromperie très très importante qui dure depuis des siècles et qu’il est important de dénoncer en fonction de notre évolution actuelle. Il faut savoir également que cette naïveté dont nous parlons, c’est-à-dire cette croyance que les mondes invisibles sont absolument tout amour et toute bienveillance envers l’homme, cette croyance est soigneusement entretenue par une forme de, on va dire, de propagande de la part de classes d’entités à l’intelligence supérieure de celles dont parlons dans ce podcast. Oui, il n’y a pas que ces animus éthériques et ces parasites, et en parlant de mondes parallèles, qui sont complexes et extrêmement riches, le sujet est loin d’être clos. Il est très intéressant de noter également que la philosophie matérialiste, qui nie, avec même une certaine virulence et arrogance, l’existence des mondes invisibles et de leur peuple d’entités, est une manipulation de ces mêmes êtres éthériques. Ça les arrange bien, puisqu’évidemment, quelle meilleure manière de ne pas être découvert que de laisser ou d’inciter une philosophie se développer qui nie leur propre existence. L’affirmation de la non-existence de ces mondes est une forme de foi comme une autre puisqu’il n’y peut pas y avoir de preuves matérielles, ni dans un sens, ni dans un autre.

Les solutions au parasitage

Alors après la description de ce tableau pas très reluisant pour notre humanité, il est temps de se poser la question de comment échapper à ce parasitage. Alors si une personne arrive à avoir une vie heureuse, équilibrée, positive, elle est de manière on va dire naturelle, plutôt préservée par rapport à une certaine nuisibilité de ces parasites. S’il y a parasitage, il sera tellement faible qu’il n’aura pas d’impact très important sur la vie de cette personne.
Donc une personne qui n’a pas conscience de l’existence de ces entités, dans ce cas-là, peut échapper à ce piège. Mais si cette même personne subit un choc et malheureusement la vie est ainsi faite que très souvent nous n’échappons pas à des événements d’une certaine puissance qui mettent notre émotionnel à rude épreuve, ce peut être aussi la maladie ou l’approche de la mort qui vont instaurer des angoisses, qui vont instaurer une certaine faiblesse psychologique. Et nous avons vu que ce sont ces faiblesses psychologiques qui permettent l’intrusion de ces parasites. Alors si vous êtes arrivé jusque-là dans ce podcast, c’est que vous soupçonnez fortement l’existence de ce parasitage. Soit vous y avez eu affaire personnellement, soit vous connaissez des personnes à votre entourage qui en sont les victimes. Alors la réponse est dans la force psychologique et dans la négation, la rupture du contrat, quel qu’il soit,même s’il n’y a pas de contrat conscient, le non à l’intrusion, le non, je ne veux pas de cette pensée, je ne veux pas de cette impulsion, non, je ne suis pas ceci, je ne suis pas cela, ce non est un refus à une programmation induite par l’extérieur. Ce refus est un refus salvateur qui peut nous permettre d’échapper à cette emprise. On assiste parfois à une courte rémission, après une volonté assez ferme de l’individu de se sortir de ce brouillard parfois dans lequel il se trouve, de cet empêtrement psychologique, et puis quelques temps après, les entités reviennent. À mon sens, il est nécessaire, si on veut vraiment résoudre le problème de manière radicale et de fond, c’est un entraînement de l’esprit. C’est un entraînement qui va permettre un accroissement de force psychologique. C’est une pratique qu’il faut mettre en place, je dirais quelle qu’elle soit, pourvu qu’elle amène à une véritable élévation du taux vibratoire. Mais il faut faire attention avec même cette notion d’élévation du taux vibratoire. Ce n’est pas partir dans l’astral, ce n’est pas partir dans le rêve, bien au contraire, c’est vraiment élever les vibrations de son corps énergétique de manière à le renforcer et de manière à ce qu’il soit pleinement constitué à son plein potentiel. La vibration haute associée à une conscience et une lucidité plus vives empêchent véritablement le parasitage. Les entités éthériques, ces animus ou autres entités, chercheront une autre proie en face de la difficulté que vous présentez à leur égard. C’est donc une pratique d’entraînement de la force de l’esprit. C’est celle que je propose dans mes ateliers, dans les soins à distance. Quoi que vous puissiez trouver comme méthode, il faut qu’elle soit pragmatique, efficace. Elle doit s’accompagner d’une lucidité, d’une prise de conscience. Ça doit être une augmentation de la force intérieure, une augmentation d’une force de volonté libre.
Mon expérience m’a fait comprendre et apprendre qu’il y a des centres d’énergie, des centres susceptibles et capables d’emmagasiner cette énergie en l’homme. Ces centres ne sont pas les chakras, ce sont les centres solaires. Ceci nous amènerait trop loin dans ce podcast.
En attendant, sachez qu’il y a des solutions, il y a moyen de s’en sortir. A minima, instaurez en vous une vigilance de pensée. Ne laissez pas en vous s’installer n’importe quelle pensée, soyez conscient de ce qui se passe en vous, de vos pensées, et faites de même pour les émotions. On pourrait parler d’hygiène, d’une hygiène spirituelle. C’est vraiment très important pour votre bien-être, pour votre évolution propre, l’objectif est notre bien-être, notre éveil, notre bonheur, pour notre joie et notre évolution propre dans toujours plus de puissance intérieure.

Roland Perret énergéticien

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Anatomie d’une paix profonde

Anatomie d'une paix profonde par Roland Perret énergéticien

Je vais essayer de vous décrire une expérience maîtrisée de paix profonde.
En quoi cela peut-il vous intéresser?
Comment une expérience subjective pourrait-elle vous être utile ?
C’est ce que nous allons voir.
De quoi s’agit-il? Imaginez un espace infini de bien-être total, complet qui se superpose aux états de conscience ordinaires, qui permet de vivre différemment tout ce qui nous arrive: une sensation très présente, très intense, de calme insondable qui permet un regard sur les choses et les événements dénués de cette sorte de nervosité de fond, de cette tension permanente qui sous-tend tous nos actes, peut-être voyez-vous ce que je veux dire. Mais avant de vous décrire plus précisément cet océan de lumière, il me faut justifier la validité de mon expérience et en quoi elle pourrait être intéressante pour vous. Le changement d’état de conscience est une expérience que vit tout chercheur un tant soit peu assidu dans ses démarches d’exploration.
La très grande majorité de ces expériences ont un point commun: passer un temps plus ou moins court, elles se dissolvent. Il peut en rester, bien sûr, un aspect psychologique, un aspect rassurant, dans certains cas. Elle peut s’accompagner d’une compréhension de certains concepts ou encore apporter des résolutions à certaines situations. Ces expériences sont tellement variées qu’il est quasiment impossible de les cataloguer. Mais la plupart ont ce point commun: elles s’éteignent, elles sont fugaces et malgré les efforts qu’on peut fournir, elles ne se reproduisent pas, du moins, pas à l’identique.
La reproductibilité de l’expérience est un aspect très important. Vous savez qu’en science,la validité d’une expérimentation n’est acquise qu’à partir d’un certain nombre de fois où l’on a obtenu le même résultat. Nous pouvons, dans une certaine mesure, appliquer cette technique de validation aux expériences spirituelles.
Vous pourriez me rétorquer que les expériences spirituelles sont intimes et propres à chacun.
Certes peut-être, mais quelle est la valeur pragmatique d’une telle vision?
L’instrument de recherche de l’investigateur spirituel, c’est ses perceptions. Si ces perceptions sont subjectives, cela supposerait que nos expériences spirituelles seraient de simples mirages, des reflets un peu étranges de la vie organique de nos cerveaux. Si nos expériences de conscience modifiée n’étaient qu’individuelles et subjectives, il serait impossible que nous puissions espérer accéder à une objectivation de la question spirituelle. Nous ne pourrions pas espérer pouvoir découvrir les lois concrètes des mondes spirituels. Comment pourrions-nous avancer dans la découverte des véritables rapports entre les mondes spirituels et le monde physique, par exemple? Ce type d’expérience subjective a une origine difficile à déterminer. Il peut s’agir de mouvements organiques ou hormonaux. Ce peut être aussi des situations dramatiques ou au contraire euphorisantes, qui provoquent dans notre système psychologique et neuronal des sensations particulières. Une impression non subjective serait, à minima, une expérience reproductible à volonté dans ses résultats, dans ses effets. Elle pourrait ainsi être observée, étudiée, approfondie,certes individuellement, mais dont les caractéristiques observables, peuvent constituer un terrain d’étude.
La reproduction à volonté d’une expérience intérieure a une saveur différente, mais surtout une très grande valeur: celle d’être pratique.
Je vous propose un exemple. Imaginez que vous receviez un e-mail, un mail plutôt désagréable qui laisse supposer, par exemple- mais à tort, bien sûr- que vous êtes quelqu’un de toxique, de peu recommandable. On s’est mépris sur vos intentions ou vos actes et on vous accuse d’être malhonnête, par exemple. Imaginons que vous vouliez répondre à ce mail, tenter d’expliquer, de vous justifier peut-être. C’est un exercice difficile qui demande votre pleine concentration pour ne pas risquer d’envenimer encore plus la situation, et vous sentez bien qu’il y a des pulsions qui montent en vous. Ça pourrait être un sentiment d’injustice, de la colère, de la tristesse, ça peut être toutes sortes d’émotions et ces émotions brouillent votre calme, entament vos facultés de jugement et d’analyse.
Si vous répondez à ce mail sous le coup de ces montées émotionnelles, il y a fort à parier que vous ne feriez qu’envenimer la situation.
Si vous avez un peu de sagesse et de l’expérience de vie, vous pourriez décider de ne pas répondre immédiatement, d’attendre de vous être calmé avant de faire votre réponse. Mais là, dans notre exemple, c’est urgent, le temps compte et il faut réagir de suite.
Imaginez:
Que vous soyez capable de générer cet océan de paix en vous là, à l’instant.
Alors même que vous êtes envahi par ses émotions négatives.
Le résultat serait une sorte de gémellité, une partie de vous, la partie gouvernante est en paix parfaite, goûtant la saveur de cette paix.
Une autre partie de vous, la partie gouvernée, écrit sa réponse au mail.
Cette partie gouvernée, c’est-à-dire qu’on a laissé sa place à son moi supérieur, devient capable, tout naturellement, de trouver les bons arguments de réponse.
Pourquoi? Parce que les émotions négatives sont instantanément dissoutes par l’activité de l’océan de paix.
Il ne s’agit bien sûr là que d’un exemple, mais je suis persuadé, si vous m’avez suivi jusque-là, que vous comprenez l’énorme intérêt de cette génération spontanée de paix sans condition.
Je vais à présent essayer de décrire cette expérience et comment vous pourriez y accéder vous-même.
La technique est simple: vous vous concentrez au milieu de votre tête.
Lorsque vous parvenez à sensoriser, c’est à dire à percevoir avec vos sens, votre centre psychique, vous faites rayonner ce soleil dans votre tête.
Je répète qu’il n’y a pas là de visualisation, mais il s’agit de perception sensible, ce qui est un résultat obtenu généralement après un entraînement adapté.
Je vais vous dire ce que je ressens personnellement dans cette situation.
Cette poussée d’énergie, hors de ma tête, ce rayonnement, ouvre sur un espace que je peux deviner infini.
Un océan de paix.
Oui de paix, parce qu’exempt de toute vibration déformante, de toute émotion stressante.
Mais ce n’est pas une paix d’absence de contenu, c’est une paix consistante,c’est une paix qui se goûte, qui a une saveur.
Dans mon corps, il y a des sensations comme des marqueurs, devant mon front, au centre de ma tête et au-dessus de ma tête. Tout mon corps est dans une décontraction souple, sans tension. Il n’y a pas de pensée qui s’impose.
Mais si ma partie inférieure déploie de la pensée, comme dans l’exemple du mail, elle se déploie avec netteté et ordre sur la page blanche de cette paix qui est intelligence pure.
C’est une sensation extrêmement agréable.
Un océan de paix qui rythme des vagues de paix qui nourrissent, qui enrichissent mon être.
Comment vous décrire ce délice?
Je n’ai qu’un désir, celui d’explorer cet océan.
La plus belle façon d’en parler est le silence. Mais nous risquerions de ne pas nous comprendre.
Alors, bien sûr, ce partage d’expérience que je viens de faire avec vous suppose certaines compréhensions, certains acquis comme la science des centres.
C’est mon propos dans cette série de podcasts de vous dévoiler ses connaissances pour que vous aussi, un jour, puissiez accéder à cet océan de paix.

Roland Perret énergéticien en art solaire.

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Je ne suis pas un guru

Caricature d'un gourou par Roland Perret Énergéticien.


De nos jours, on taxe facilement de gourou les personnes qui présentent des idées spirituelles.
Surtout celles qui ont l’air de savoir de quoi elles parlent.
Je vous propose de voir ensemble ce qu’il en est et si suis moi-même un gourou.
Qu’est-ce qu’un gourou? en sanskrit, cette ancienne langue indienne, le mot gourou signifie « celui qui dissipe les ténèbres ». C’est ainsi qu’on nommait les mentors, les chefs spirituels, les maîtres en tradition philosophique. Il s’agissait bien d’un titre honorifique à la base, en orient surtout.
En occident aussi, d’ailleurs, on qualifie parfois de gourou des personnalités qui ont rapporté d’importantes évolutions, par exemple technologiques ou sociales. On citera Elon Musk comme un gourou. Bien, mais comment sommes-nous passés d’un terme honorifique à une insulte? Ou à minima pour qualifier quelqu’un de louche et de peu recommandable.
Les abus de certains chefs religieux, de dirigeants sectaires qui ont fait scandale.
Scandales qui ont permis de dénoncer leurs méfaits et de sauver certaines personnes de l’emprise de leurs manipulateurs. Certes, mais par amalgame, le terme de gourou est devenu synonyme d’abus de pouvoir, et l’utilisation renforcée de ce mot par les médias, ainsi que la juste dénonciation de certaines dérives, a malheureusement associé dans l’esprit du public, tout mouvement spirituel à une secte et tout enseignant spirituel a un gourou. Curieusement, jusque-là, nos papes, prêtres, curés, évêques, nos imams, ont échappé à cette qualification de gourous. Mais je ne veux pas faire ici de procès.
La pensée matérialiste qui pose a priori l’inexistence du spirituel va forcément considérer comme douteuse toute pensée à orientation spirituelle. Évoquer la seule notion d’âme, par exemple, peut élever nombre de boucliers de suspicions. La présentation d’une vision du monde qui inclut la dimension énergétique ou qui conçoit, par exemple, des univers parallèles, sera étroitement surveillée, voire condamnée, par les tenants de la religion actuelle qu’est notre matérialisme. Je ferai la démonstration dans un autre podcast, de ce que j’affirme ici.
Revenons à la notion de gourou. Il nous faut donc faire la différence entre un enseignant spirituel intègre et un enseignant spirituel qui serait un gourou. Celui qui est animé par le service à l’humanité, celui qui cherche le bien commun et qui propose des services d’aide à autrui s’oppose au manipulateur qui cherche son unique profit au détriment de la crédulité de ses victimes. L’enseignant spirituel intègre n’est pas forcément dans le juste. Il peut voir des personnes qui le suivent, mais il peut se tromper, être rempli de croyances, il peut manquer de pragmatisme.
Cependant, le traiter de gourou serait une marque de manque de discernement.
Qu’est-ce qui caractérise justement un gourou? Qu’est-ce qu’on veut dire par ce terme ?
Il y a deux grands aspects qui caractérisent celui qu’on appelle un gourou au sens négatif du terme. Il y a d’une part l’appât du gain.
Là, je pense qu’il n’est pas nécessaire de développer plus avant. Nous parlons tout simplement d’escroquerie et de mensonges.
D’un autre côté, il y a ce qu’on pourrait appeler de manière générale, le pouvoir. C’est plus subtil, plus difficile à reconnaître.
Tout penseur éloquent a de l’influence. Tout philosophe pertinent peut subjuguer les foules.
Alors le contenu du message ?
Il faut étudier avec rigueur la teneur d’un enseignement pour pouvoir se faire une opinion. Ça demande du temps. La taille de l’audience n’est pas plus un critère. Ce n’est pas le nombre d’oreilles qui fait la valeur du propos.
Il s’agit donc bien plutôt de vérifier la qualité des intentions de celui qui enseigne.
Ah oui, mais alors comment reconnaître les intentions d’un enseignant spirituel?
Un véritable enseignant spirituel digne de ce nom a appliqué ce qu’il enseigne et se doit donc d’avoir une maîtrise et un équilibre psychologique.
J’y reviendrai avec beaucoup plus de précision dans un autre propos. Mais pour résumer, disons qu’il est exempt des tares grossières comme le besoin de reconnaissance, la soif de pouvoir sur autrui. Il maîtrise sa nature et n’a pas de pulsions malsaines.
C’est donc en définitive en étudiant le comportement de l’enseignant, ou de celui qui se pose comme tel, qu’on pourra se faire une opinion sur ses intentions. Ce n’est certes pas chose facile.
Personnellement, avant de m’engager plus avant avec un enseignant, j’observais ses élèves, les personnes sur qui il exerçait son influence. Là, je pouvais voir s’il y avait une sorte de formatage, d’uniformisation de la pensée ou si, au contraire, on pouvait constater un épanouissement, voire une nette croissance et une évolution des individus.
Le titre de ce podcast propose une auto-analyse. Suis-je moi-même un gourou?
Ce qui pourrait être intéressant aussi, si vous êtes dans une position d’enseigner, par exemple, de vous poser vous-même les mêmes questions. Bien sûr, si cela vous intéresse. Mais en attendant, je me pose la question à moi-même.
Il y a donc la question de l’appât du gain.
Si je m’observe, en ce qui me concerne, la réponse est facile.
Je demande dix euros pour une séance de travail énergétique que j’estime de haute qualité. Difficile de parler de vénalité. À côté de mon activité d’énergéticien, je suis un artiste peintre qui a eu la chance de faire une belle carrière et qui a une vie modeste mais confortable. De plus, je suis retraité encore actif par plaisir dans ce domaine et je n’ai pas besoin de gagner de l’argent.
D’ailleurs, si je voulais gagner plus, ce n’est certainement pas dans le domaine de l’énergétique que j’ai exercerais. Ce sont des informations faciles à vérifier. De nos jours, il suffit de taper un nom sur internet.
Il n’y a pas que l’appât du gain, comme nous avons vu, il y a les autres aspects, comme la soif de pouvoir, de reconnaissance, le besoin de séduction, le désir d’avoir de l’influence. Donc, là aussi, il s’agit de faire un petit peu une analyse de soi sincère.
De par ma carrière plutôt brillante d’artiste, j’ai eu mon lot de compliments et d’admirations. Si ces choses ont certainement été des encouragements dans ma jeunesse, mon âge, j’ai soixante neuf ans (nous sommes en 2024) me permet de sourire devant ce soupçon de besoin de notoriété. De plus, je sais pertinemment que de s’exposer ainsi au public est plus source de tracas et de pollutions relationnelles que cela n’a davantages.
Donc, non, soif de reconnaissance, de pouvoir de séduction, non. il y a d’autres motivations plus profondes et plus intéressantes qui, il me semble, m’animent. Alors, il y a un autre aspect de la question: il peut y avoir la vanité, l’orgueil, le sentiment de supériorité.
Ah là, c’est encore plus difficile à discerner. Il faut bien se sonder pour éventuellement déceler des traces de ce type de biais. Je pense qu’une personne qui sait vraiment écouter- je dis vraiment écouter, bien sûr- ne sera pas dans l’orgueil. Je pense que si cette même personne est sincèrement capable de se réjouir du bonheur ou de la guérison de l’autre, n’a pas vraiment de sentiment de supériorité.
C’est finalement une question d’intelligence, d’observation de soi.
Alors il peut y avoir encore un autre aspect:
La pure bêtise.
Vouloir se faire passer pour ce que l’on n’est pas, parler de ce qu’on ne sait pas, faire croire que l’on sait quelque chose alors qu’on l’a juste lu. Se permettre des opinions sans avoir pris le temps de l’analyse.
Faire semblant d’être rempli de sagesse en noyant le poisson dans du verbiage. Là, il est question de rigueur, d’attitude mentale intègre et, encore une fois, de vigilance.
Voilà, alors peut-être trouverez-vous d’autres caractéristiques à prendre en compte dans cet examen de conscience.
N’hésitez pas à me les mettre en commentaires.
En conclusion, en ce qui me concerne, je considère que je ne mérite pas le qualificatif de gourou et je me permettrai de rejeter ce genre d’accusation comme la marque d’un jugement hâtif et non pertinent.