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Les entités parasites

Les entités parasites par Roland Perret énergéticien

Qu’en est-il de la réalité de l’existence d’entités qui nous parasiteraient ?

Si on admet leur existence, pourquoi font-elles cela ? Quel est leur mode de fonctionnement ? Quelles sont les capacités qui permet ce parasitage ? Qu’ont-elles à y gagner ? Pourquoi ne les percevons-nous pas ? Quelle est leur influence sur notre santé physique et psychique ? Qui y échappe ? Comment s’en libérer ?Autant de questions auxquelles, dans ce podcast,  Roland Perret, énergéticien, vous proposera des réponses assorties d’exemples concrets issus de son expérience.
Vous trouverez ci-dessous la retranscription écrite du podcast.

Les entités parasites, de quoi s’agit-il exactement ? Qu’est-ce qu’il en est ?

Est-ce qu’il peut être justifié de concevoir le monde de cette manière ? Et dans l’affirmative, comment traiter cette problématique ? Ce podcast est destiné à des personnes ouvertes d’esprit, et pour le moins curieuses, et ainsi nous pourrons voir ensemble, avec autant de pragmatisme que possible, ce qu’il en est de cette question.
Le sujet des entités parasites est une affaire plutôt dérangeante dans notre société occidentale. Nous savons bien que les cultures traditionnelles, les sociétés tribales, les religions et nombre de courants spiritualistes attestent de la réalité de créatures qui vivraient aux dépens de l’être humain. L’homme occidental, et même maintenant l’homme oriental, très influencé par la culture de l’Occident, rejette tout cela comme des visions de superstitions fantomatiques qui datent d’un autre âge, un âge d’obscurantisme. Nos instruments scientifiques ne peuvent pas prouver l’existence de ces entités. De la même manière, nos instruments ne peuvent pas prouver leur inexistence.

Qui parle de ces entités ?

Nous en trouvons de nombreux témoignages chez les clairvoyants, chez un grand nombre de psychothérapeutes, dans certaines branches de la psychiatrie, et bien sûr chez des auteurs versés dans les sciences ésotériques spirituelles. Un grand nombre de personnes se dit également possédées, selon l’ancienne terminologie, elles ont l’impression d’être habitées en quelque sorte par quelqu’un d’autre, de vivre en elle des présences étrangères. Beaucoup parlent aussi d’impulsions qui sont comme induites dans leur esprit et auxquelles elles ont parfois eu le malheur d’obéir, de suivre leurs directives. Ce sujet est très tabou et peu de personnes ont le courage de s’exprimer à ce sujet. Il nous est dit également que la présence d’entités en nous peut provoquer des maladies, des problèmes à différents niveaux et être source de manque d’harmonie sur un plan général, c’est-à-dire sur le plan des événements de nos vies. La malchance, les problématiques matérielles à répétition seraient aussi le fait de certaines de ces entités.

Quelle vision du monde découle de ces hypothèses ?


Cela donne l’image d’un monde parallèle au nôtre. Mais contrairement à l’idée courante dans certains milieux spiritualistes et surtout religieux, ce monde parallèle,
ce monde différent du nôtre, ce monde non matériel, serait loin d’être une espèce d’océan de bien-être et de bienveillance. Nous avons plutôt l’impression d’un monde similaire au nôtre, avec peut-être même des problématiques identiques et des niveaux de conscience qui ne sont pas loin de l’inharmonie générale qui règne chez les humains. Naturellement, par problématiques similaires, je n’entends pas des problèmes matériels, mais plutôt des problèmes de niveaux de conscience, d’évolution, de capacités de bienveillance par exemple. Ce monde appelé communément dans le jargon spiritualiste le monde astral ou le monde de la mort est aussi souvent qualifié de monde miroir. Il y a également le terme de sphère réflectrice.
Si donc nous gardons cette idée de monde miroir avec cet axiome hermétique de « tout ce qui est en haut est comme ce qui est en bas », nous pouvons essayer d’établir des correspondances entre notre monde matériel et ce monde miroir, ce monde astral. Il y a dans notre monde physique une gamme énorme d’interactions entre les êtres humains.
Nous pourrions les réduire à des comportements, en tout cas ceux qui nous intéressent parmi ces comportements, ceux qui sont axés sur la survie et sur l’enrichissement. Là nous avons toute une gamme de comportements qui va du jeu d’influence jusqu’à la manipulation psychologique jusqu’à l’extorsion, jusqu’à une forme de criminalité.
Les créatures du monde miroir, dans cette vision des choses, n’échappent pas à cette réalité. Il y aurait toute une gamme d’entités, plus ou moins évoluées, qui va d’une conscience proche de l’animal à des intelligences très supérieures, en passant par des niveaux de conscience proches de l’état de conscience ordinaire de l’homme. Alors pourquoi ne les voyons-nous pas ? Hormis les personnes clairvoyantes ou clairaudientes, ce monde nous est caché.

Comment ça fonctionne ?

Pourquoi ce monde  nous est caché ? C’est une question à laquelle je pourrais répondre sur la base d’une expérience personnelle que je vais vous conter. Mais avant cela, il faut comprendre quelle est la raison d’être de ces entités, quelle est leur fonction, qu’est-ce qu’elles font, quels intérêts elles ont à être aussi proches de l’homme, aussi intrusives par rapport à l’homme. Avant d’aller plus loin, je tiens à dire que parmi toutes ces entités, il y en a qui sont bien sûr inoffensives et certaines tout à fait amis avec l’homme. Mais c’est une autre question, là nous traitons des parasites. On va les appeler aussi les parasites éthériques ou les animus éthériques.
Les thérapeutes qui ont cette vision des choses, ont une conception de l’évidence de ces animus éthériques, de ces entités parasites, et ont constaté une chose importante: Lorsqu’une personne est en pleine santé physique et morale, lorsque sa psychologie est au beau fixe, en quelque sorte, lorsque cette personne est en équilibre, il y a peu de chances, voire aucune, qu’elle soit infestée par une entité parasite. Par contre, si une personne a subi des chocs qui peuvent être physiques, comme des accidents, des traumatismes divers, que ce soit dans son enfance ou dans sa vie adulte, des nouvelles bouleversantes, des deuils, des chocs émotionnels de toutes sortes, s’il s’ensuit un affaiblissement marqué dans sa psychologie, un stress important, des tensions plus ou moins insupportables. Cela crée dans le système psychosensible, pourrait-on dire, dans le corps éthérique,  des failles, des trous, des manques qui attireront magnétiquement ces fameuses entités parasites. Un grand nombre de ces créatures sont attirées par une substance particulière qui extraient de l’être humain lorsqu’il est abattu, triste, lorsqu’il perd de l’énergie, comme il le dit lui-même. Et bien cette énergie n’est pas perdue pour tout le monde. Et dans ces cas précis, l’entité va pénétrer le système énergétique, s’y installer et se nourrir de ce type d’énergie particulière. Cette même entité va être capable d’influencer le psychisme humain. Il faut comprendre que pour elle, selon les descriptions que nous en avons, notre esprit, notre psychologie, notre personnalité sont un livre ouvert. Elle a une transparence à laquelle elles accèdent et elle repère nos points faibles, nos faiblesses, sur lesquelles elles peuvent appuyer pour encourager en nous la production de cette énergie particulière dont elles se nourrissent.
Comprenez-moi bien, je ne vous parle pas ici des personnes qui entendent des voix dans leur tête, nous en parlerons plus tard, mais bien de ces situations très ordinaires que nous connaissons tous,
ces situations où nous sommes pris parfois dans une espèce d’engrenage, d’agacement ou d’énervement envers l’autre qui va crescendo jusqu’à atteindre certains sommets plus ou moins virulents et ces états, des états dans lesquels nous nous mettons et que nous regrettons. Il est quand même très étonnant qu’un être humain qui se dit conscient puisse être arrivé à pouvoir prononcer des paroles et ensuite dire, penser, réaliser que ces paroles ont dépassé ce qu’il voulait dire. Je ne voulais pas dire ceci, je ne voulais pas dire cela. Comment est-il possible que l’être humain soit à ce point indigent pour qu’il ne puisse pas dire ce qu’il veut dire, penser ce qu’il veut penser? Cela s’explique par cette induction télépathique dont sont capables ces entités pour nous encourager au conflit. Là nous parlons de conflits dans le couple, dans la vie de tous les jours. Mais bien sûr, cela s’applique à des nations entières et à des conflits mondiaux. La subtilité du piège réside dans le fait que l’homme s’imagine à ce moment-là que c’est lui qui formule ses pensées, qu’elles lui sont propres, qu’elles sont justifiées en lui par sa libre volonté.
On peut se reposer la question du pourquoi ensuite il va dire que ses actes, ses paroles ont dépassé son vouloir. Il faut savoir que la télépathie est le mode de fonctionnement de base de communication de ces entités. La manipulation est d’autant plus habile et pernicieuse qu’elle est efficace. L’homme croit que ses pulsions, que ses colères, ses énervements sont dus de son fait. Or, il est clairement, selon la vision que nous pouvons en avoir, question de manipulations d’êtres invisibles. Pour prendre conscience des problèmes décrits, il faut en plus considérer une autre capacité de ces êtres: Ils sont métamorphes, c’est-à-dire qu’ils peuvent changer la forme de leur corps, la visibilité par l’extérieur de leur apparence, comme bon leur semble. Ils ont bien une forme, un corps de base, mais ils peuvent le modifier suivant leurs intérêts. Là, ce sera le cas pour des personnes qui, à cause de leur très grande sensibilité, ont par exemple des visions. Une vision de la Vierge ou d’un ange peut très bien et très certainement être un métamorphe qui se présente de cette manière en respectant la culture propre à l’individu. Un chrétien va voir Jésus ou la Vierge, un musulman pourra voir le prophète, un indien pourra voir des divinités propres à son panthéon, etc. Dans d’autres situations, si c’est plus approprié, ce sera des figures effrayantes ou diaboliques. L’essentiel étant de toute façon de pouvoir dérober des éléments contenus dans l’émotionnel débridé de l’homme. Ce n’est pas que ces créatures soient mauvaises ou veulent la destruction de l’homme. Non, bien au contraire. Elles sont bien plus comme des fermiers avec leur bétail humains. C’est-à-dire que leur objectif étant de stimuler l’excrétion de cette substance dont ils raffolent, ils vont encourager leur bétail à toujours plus de conflits afin de mieux les asservir en quelque sorte. Ils ne veulent pas la fin de l’humanité, pas plus qu’un fermier voudrait anéantir son troupeau, son bétail. Bien au contraire, ils veulent que leur bétail soit dans les meilleures conditions de manière à pouvoir obtenir ce qu’ils désirent. Ce qu’il veulent éviter à tout prix, c’est que la vache s’échappe du troupeau. Il est donc absolument nécessaire pour ces créatures qu’elles soient invisibles à l’homme, qu’il n’en prenne pas connaissance, qu’il n’en prenne pas conscience. Ce n’est pas un état extraordinaire de l’homme, c’est son état, on pourrait dire naturel malheureusement. L’être humain dès la naissance, peut-être même à cause du traumatisme même lié à la naissance, est touché par cette problématique. Il n’y a quasiment personne qui échappe à la présence en lui d’entités parasites, sauf dans le cas de figure bien sûr, où le taux vibratoire permet de se débarrasser de manière complète de ce problème. Mais nous y reviendrons. Ces créatures donc veulent absolument rester invisibles.

Pourquoi ce monde est-il caché ?

Je vous ai promis un exemple, une anecdote tirée de ma vie personnelle. Ma première compagne, qui n’est plus de ce monde, était atteinte de troubles graves d’une dépression sévère. Elle avait régulièrement des crises et des comportements choquants pour la société dans la petite ville dans laquelle nous habitions. Il arrivait régulièrement qu’elle se mette nue dans la rue ou encore pire, dans certains cas, se mettre nue dans une église le jour d’une communion. La liste est tellement longue de ces comportements aberrants que je vais en rester là. Mais lorsqu’il y avait des moments d’accalmie, les crises duraient quelques jours, puis son état se rétablissait à peu près.Lorsqu’on lui posait la question du pourquoi, pourquoi elle avait fait telle ou telle chose, on pouvait en essayer d’en parler calmement, c’était toujours le silence. Il y avait vraiment un mystère.Elle ne s’exprimait absolument pas sur le pourquoi de ses actes, en fait tout à fait catastrophiques pour sa propre vie, bien sûr, pour la vie de son entourage et très choquante pour l’alentour. Un jour, pourtant, alors que je m’étais résolu, après d’une dizaine d’années, de me séparer d’elle, la police municipale vient sonner à ma porte et me dit que ma compagne avait brisé la toute nouvelle vitre de l’église de la ville. Vous savez, ces espèces de sas en verre qui permettent un certain confort au niveau de la température. J’ai pu arranger, on va dire, la situation. Mais pourquoi ? Pourquoi avait-elle fait ça alors qu’elle se déclarait fervente ? Sa fille, qui avait 7-8 ans à l’époque, a réussi à lui tirer les vers du nez, en quelque sorte. Elle lui a confié que Jésus, donc une voix dans sa tête, lui avait dit « La porte de la maison du Seigneur doit rester toujours ouverte ». Or, elle venait d’apprendre qu’il y avait cette toute nouvelle installation de ce sas. Et suivant les injonctions, suivant les messages qu’elle recevait, elle est allée à la quincaillerie, elle a acheté une grande masse et elle a à grand coup brisé la vitre. Ses voix devaient toujours être secrètes. Elles lui soufflaient: « Ne dis pas qu’on est là, ne dis à personne qu’on est là ».
Voilà pour cet exemple. 

Deuxième exemple


C’est un ami d’enfance qui s’est essayé à une carrière musicale. Il aimait beaucoup le jazz,
mais sa vie artistique, c’était une catastrophe. Il n’arrivait pas à en vivre et il avait une vie sociale, on va dire, médiocre. Et il était plutôt malheureux de cette situation où on ne reconnaissait pas son talent. Un jour, sans doute de grande tristesse, il entend une voix dans sa tête. pour la première fois. Cette voix lui dit que qu’il était, enfin, cette voix disait « je suis un grand joueur de jazz, décédé ». Je ne me rappelle plus qui, je ne suis pas un spécialiste du jazz. La voix lui dit, « voilà, moi, ce grand artiste, je suis mort dans des circonstances tragiques et je n’ai pas eu le temps de composer certains morceaux. Si tu veux, si tu veux, je te les souffle et tu vas pouvoir écrire ces partitions, tu vas pouvoir devenir un grand artiste, tu vas pouvoir être reconnu, riche et célèbre. J’aurai la satisfaction que mon oeuvre pourra être accomplie à travers toi ». Et là, mon ami est enthousiaste et il se met à transcrire, à retranscrire, à écrire des partitions. Puis une autre voix, un autre artiste, encore un,lui aussi mort dans des circonstances tragiques. Je crois savoir que beaucoup d’artistes, à cette période, sont morts tragiquement. Peu importe, encore un autre et encore un autre. Et il n’arrête pas d’écrire et d’écrire des partitions, il y passe des nuits entières. Bon, il est heureux, il a une forme d’euphorie qui s’est installée en lui.
Mais une nuit, il se réveille brutalement ou plutôt, ce sont les voix qui le réveillent. Ces voix lui disent « Lève-toi et prend une douche glacée !” Lui réagit, mais comment, mais pourquoi ? « C’est un ordre,on te donne des partitions, tu dois obéir, tu dois prendre une douche glacée ». Le pauvre homme se lève, il obéit,
il prend sa douche glacée. « rase-toi la tête », il obéit. La voix va encore plus loin et lui dit, « va sur le palier, sonne chez le voisin », en pleine nuit bien sûr, »et dis-lui que tu as couché avec sa femme ». Quoi ? Je ne peux pas faire ça ? Les voix lui disent, « écoute, si tu ne fais pas ça, c’est fini les partitions. On ne te donne plus rien ». Et cet ami… Qu’est-ce qu’il fait ? Il va le faire. Il sonne à la porte et il dit ça au voisin. Là-dessus, le lendemain au réveil, il est en mode panique. Et c’est là qu’il vient me voir, me raconter toute cette histoire. Je ne l’avais pas vu depuis au moins 20 ans. Il me raconte ça, il me dit oui, je sais, tu as vévu ce genre de choses avec ta compagne, tu connais le problème, je ne sais pas à qui parler, j’ai peur d’aller dans les hôpitaux, chez les médecins, j’ai peur qu’on m’enferme, je ne sais pas à qui dire ça, est-ce que tu as une solution, est-ce que tu peux m’aider ? J’ai commencé par le calmer. Je lui ai conseillé de dire à son voisin qu’il avait fumé un joint et qu’il y avait un moment d’égarement, qu’il s’en excusait, que c’était toujours mieux que de faire venir une ambulance. Il s’est exécuté.

La confrontation

On a parlé un peu de ses voix, mais ce que j’ai eu l’idée de faire, parce que j’ai constaté que pour lui aussi, les voix devaient être cachées, que personne ne devait savoir, personne ne devait prendre conscience de leur présence ni de ces pseudos dons merveilleux qu’il prodiguaient. C’était comme pour ma compagne. J’ai profité d’une période hors crise de ma compagne pour les convoquer tous les deux, pour les réunir tous les deux. Ils ne se connaissaient pas. Et ils sont donc venus tous les deux dans mon salon. Deux personnes. qui entendent des voix, et chacun avait ce phénomène des voix qui veulent rester secrètes. Et là, on révèle le jeu au grand jour. Moi, j’étais un petit peu l’arbitre en quelque sorte de la situation. Mon ami a dit, « ah, elles nous font faire des bêtises ces voix ». « Oui,oui, en effet », répond-elle, « en effet, elles nous font faire des bêtises, il faut qu’on arrête ça », « oui, oui, oui, il faut qu’on arrête ça. » Et lui il dit, « moi de toute façon j’arrête, j’ai arrêté, j’ai commencé à détruire les partitions, moi j’arrête ». Elle, elle dit, « Oui, moi aussi, j’arrête ». Et puis je vois son visage se décomposer. Elle change d’attitude. Comme je la connaissais très bien, je lui demande ce qui se passe. Elle me dit, « j’arrête, sauf une ». Elle veut garder une voix. Et je lui dis, on peut savoir qui c’est ? Elle me dit, « Jésus ».
Et là, il n’y avait rien à faire. Elle avait reçu une éducation religieuse, même si elle l’avait rejetée par la suite, mais dans sa dépression, tout avait repris le dessus, en quelque sorte. Conclusion de l’affaire, le garçon, l’ami, le musicien, il a tout arrêté. Je lui ai dis, que c’était quand même un peu dommage, qu’on aurait pu voir ce qu’il en était de ces partitions. Il a tout détruit, mais à mon avis, de toute façon, ça ne valait rien du tout. Mais bon, on ne saura jamais. Il s’en est sorti, mais malheureusement, pour ma compagne, elle voyait les nuages se déformer dans le ciel, prendre la figure de Jésus, lui parler, et ainsi de suite. Son histoire a mal terminé, malheureusement et elle nous a quité très tôt.
Là,
nous avons une flagrante illustration du métamorphisme de ces êtres et du côté pernicieux et traître de leur faculté télépathique. Je me suis rendu compte plus tard que cette confrontation entre des personnes qui entendaient des voix avait été inaugurée en ethno-psychiatrie. Voilà, si ce sujet vous intéresse, vous trouverez la piste de ce genre de cas. Voyez notamment les travaux de Toby Nathan.

Similarité dans le monde physique

Si c’est la première fois que vous entendez ce type de récit, vous aurez peut-être eu, ou vous avez peut-être une forme de dégoût, un réflexe qui pourrait vous inciter à dire non, ce n’est pas possible, on ne trouve pas un tel tableau dans la nature.
Nous avons parlé tout à l’heure du parallélisme entre le monde physique et le monde astral. Alors est-ce que nous avons de tels comportements dans notre vie animale par exemple ?

La blénie à dents de sabre

Eh bien, je vais vous en donner un. Connaissez-vous la blénie à dents de sabre ?
Je suppose que non, ce petit animal, c’est un petit poisson, n’est pas des plus connus. Alors, vous avez certainement vu dans des documentaires animaliers, ces stations de nettoyage de certains poissons. Vous savez, les poissons sont comme ces pachydermes dans la savane qui se font nettoyer par des plus petits animaux qu’eux. Alors imaginez un poisson clown, par exemple, qui vient dans une de ces stations de lavage où des petites blénies, des labres, viennent les nettoyer. Alors ce sont des petits poissons d’à peu près 10 cm de long, tout fins. Ils sont couleur bleue, voilà, avec une rayure. Et ces petits poissons vont nettoyer les écailles. Voilà, c’est un échange de bons services. Le poisson clown se retrouve nettoyé de ses petits parasites et le labre c’est nourri de ces petits déchets. Mais voilà qu’intervient la blénie à dents de sabre.  Alors cette blénie, c’est pareil, elle a une forme à peu près similaire. C’est un petit poisson qui a aussi 10 cm de long. Elle n’a pas la même couleur, elle n’est pas bleue, elle est jaune avec une rayure. Et elle a surtout des dents de sabre. Au microscope, elle a une bouche plutôt d’un monstre avec deux grandes dents. Eh bien, il se trouve que cette blénie à dents de sabre, appelé aussi le faux nettoyeur, est capable de se transformer. Il change de couleur et de jaune, il devient bleu. Et ainsi, il est quasiment eu tout point pareil au labre nettoyeur, suffisamment semblable pour qu’il puisse se rapprocher des plus gros poissons. Une fois qu’il s’en est rapproché, il va planter ses dents et arracher les écailles de ses poissons. Une fois son forfait accompli, Il retrouve sa manière de nager parce qu’il avait imité, même jusqu’à son jeu de nageoires, l’autre labre nettoyeur. Et donc, il reprend sa vélocité avec ses autres jeux de nageoires, va se cacher et retrouve dans des trous de coraux, tout ça, ça se passe dans les coraux du Pacifique, il va retrouver sa couleur originelle.
Là, vous voyez ce mimétisme prédateur comme il existe dans notre nature. Nous allons pouvoir maintenant aborder une chose très importante par rapport à ses fonctionnements et qui peut être à notre avantage.

La notion de pacte

Ces créatures sont irrégulières en quelque sorte. Elles n’ont pas leur place dans l’ordre des choses. Elles ont des comptes à rendre par rapport à leurs activités. Mais nous avons vu qu’elles étaient pourvues d’une certaine intelligence. Et donc, elles peuvent se targuer que l’homme est d’accord pour être traité de la sorte. Alors voilà, si nous reprenons l’exemple de mon ami musicien, nous voyons très bien qu’il y a une forme de contrat. Voilà, on est tout à fait dans le mythe de Faust avec le contrat avec le diable, c’est-à-dire qu’on lui propose quelque chose, là, les partitions, et on le ferre en quelque sorte grâce à son désir. Peut-être qu’il y avait aussi une forme de vanité et d’orgueil basé sur ses blessures. Bref, il est d’accord. Il est d’accord pour recevoir des choses de ce monde invisible, recevoir ses partitions. Petit à petit, l’échange se durcit. Tout d’un coup, voilà, si tu veux que ça continue, il va falloir que tu fasses ça et que tu fasses ça, sinon ça va s’arrêter. Ce n’est pas venu tout de suite, mais ce qui compte, ce qui est intéressant dans cette histoire, c’est la notion de contrat. À un moment donné, il faut être d’accord. Alors, ce type de contrat il peut se passer sur le plan conscient, lorsque l’individu est conscient, un petit peu comme l’exemple biblique du Christ dans le désert avec le diable, qui lui propose une immensité, une grande richesse en échange de son asservissement. Il y a quelque chose de cet ordre-là. Mais malheureusement pour nous, il y a une forme de contrat qui nous est soutiré. Je pense notamment à notre vie de rêve.
Dans la vie de rêve, il se peut que parfois nous soyons amenés à signer des documents ou à prendre des véhicules dans certaines directions sans que nous puissions conduire. Nous sommes emmenés dans tel ou tel endroit. Le fait de donner notre acquiescement dans le rêve sans notre conscient est pour ces entités, fait figure d’autorisation.
Le contrat, ça c’est la bonne nouvelle, c’est-à-dire que c’est un contrat qui est fait sans le témoin de notre conscience. C’est là que c’est intéressant. Pour toute chose importante, pour tout contrat à signer dans notre vie matérielle, il faut, comme un mariage par exemple, il faut un témoin, au minimum. Là, le contrat dans la vie de rêve, est signé de manière inconsciente. Donc, il est caduque. Nous pouvons par rapport à des lois, à des lois de ces autres mondes, on pourrait dire des lois cosmiques pour simplifier, mais tout ça demanderait vraiment d’être approfondi. Ces contrats, nous pouvons les déchirer. Mais pour cela, il faut prendre conscience qu’il y a contrat, qu’il y a entité extérieure à nous. C’est tout un processus qui permet ce genre de libération. D’où la nécessité de démasquer ces entités. Certains ont rappelé ça le grand mensonge.

La naïveté humaine

Il est important d’en prendre conscience et de sortir d’une forme de naïveté. Naïveté qui consiste à penser que tout ce qui vient du ciel est béni, que tout ce qui vient des mondes invisibles est bon pour l’homme, est bienfaisant pour l’homme. Un peu comme on le voit sur le plan politique, on sourit peut-être un peu devant la naïveté de certaines personnes qui pensent que les États font tout pour eux, pour leur bien-être.Alors qu’on sait très bien, lorsqu’on étudie ces choses avec un peu plus d’acuité, un peu plus d’intelligence, qu’il s’agit de lutte d’intérêt. Il n’y a pas de bienveillance absolue de l’État. Si vous allez faire des actes à l’encontre des intérêts de l’État, vous allez voir ce qui va vous arriver, n’est-ce pas ? C’est pareil pour les mondes invisibles. Il faut sortir de cette naïveté. Ça ne veut pas dire que tous les mondes spirituels sont mauvais ou négatifs, pas ça, mais il y a vraiment une tromperie très très importante qui dure depuis des siècles et qu’il est important de dénoncer en fonction de notre évolution actuelle. Il faut savoir également que cette naïveté dont nous parlons, c’est-à-dire cette croyance que les mondes invisibles sont absolument tout amour et toute bienveillance envers l’homme, cette croyance est soigneusement entretenue par une forme de, on va dire, de propagande de la part de classes d’entités à l’intelligence supérieure de celles dont parlons dans ce podcast. Oui, il n’y a pas que ces animus éthériques et ces parasites, et en parlant de mondes parallèles, qui sont complexes et extrêmement riches, le sujet est loin d’être clos. Il est très intéressant de noter également que la philosophie matérialiste, qui nie, avec même une certaine virulence et arrogance, l’existence des mondes invisibles et de leur peuple d’entités, est une manipulation de ces mêmes êtres éthériques. Ça les arrange bien, puisqu’évidemment, quelle meilleure manière de ne pas être découvert que de laisser ou d’inciter une philosophie se développer qui nie leur propre existence. L’affirmation de la non-existence de ces mondes est une forme de foi comme une autre puisqu’il n’y peut pas y avoir de preuves matérielles, ni dans un sens, ni dans un autre.

Les solutions au parasitage

Alors après la description de ce tableau pas très reluisant pour notre humanité, il est temps de se poser la question de comment échapper à ce parasitage. Alors si une personne arrive à avoir une vie heureuse, équilibrée, positive, elle est de manière on va dire naturelle, plutôt préservée par rapport à une certaine nuisibilité de ces parasites. S’il y a parasitage, il sera tellement faible qu’il n’aura pas d’impact très important sur la vie de cette personne.
Donc une personne qui n’a pas conscience de l’existence de ces entités, dans ce cas-là, peut échapper à ce piège. Mais si cette même personne subit un choc et malheureusement la vie est ainsi faite que très souvent nous n’échappons pas à des événements d’une certaine puissance qui mettent notre émotionnel à rude épreuve, ce peut être aussi la maladie ou l’approche de la mort qui vont instaurer des angoisses, qui vont instaurer une certaine faiblesse psychologique. Et nous avons vu que ce sont ces faiblesses psychologiques qui permettent l’intrusion de ces parasites. Alors si vous êtes arrivé jusque-là dans ce podcast, c’est que vous soupçonnez fortement l’existence de ce parasitage. Soit vous y avez eu affaire personnellement, soit vous connaissez des personnes à votre entourage qui en sont les victimes. Alors la réponse est dans la force psychologique et dans la négation, la rupture du contrat, quel qu’il soit,même s’il n’y a pas de contrat conscient, le non à l’intrusion, le non, je ne veux pas de cette pensée, je ne veux pas de cette impulsion, non, je ne suis pas ceci, je ne suis pas cela, ce non est un refus à une programmation induite par l’extérieur. Ce refus est un refus salvateur qui peut nous permettre d’échapper à cette emprise. On assiste parfois à une courte rémission, après une volonté assez ferme de l’individu de se sortir de ce brouillard parfois dans lequel il se trouve, de cet empêtrement psychologique, et puis quelques temps après, les entités reviennent. À mon sens, il est nécessaire, si on veut vraiment résoudre le problème de manière radicale et de fond, c’est un entraînement de l’esprit. C’est un entraînement qui va permettre un accroissement de force psychologique. C’est une pratique qu’il faut mettre en place, je dirais quelle qu’elle soit, pourvu qu’elle amène à une véritable élévation du taux vibratoire. Mais il faut faire attention avec même cette notion d’élévation du taux vibratoire. Ce n’est pas partir dans l’astral, ce n’est pas partir dans le rêve, bien au contraire, c’est vraiment élever les vibrations de son corps énergétique de manière à le renforcer et de manière à ce qu’il soit pleinement constitué à son plein potentiel. La vibration haute associée à une conscience et une lucidité plus vives empêchent véritablement le parasitage. Les entités éthériques, ces animus ou autres entités, chercheront une autre proie en face de la difficulté que vous présentez à leur égard. C’est donc une pratique d’entraînement de la force de l’esprit. C’est celle que je propose dans mes ateliers, dans les soins à distance. Quoi que vous puissiez trouver comme méthode, il faut qu’elle soit pragmatique, efficace. Elle doit s’accompagner d’une lucidité, d’une prise de conscience. Ça doit être une augmentation de la force intérieure, une augmentation d’une force de volonté libre.
Mon expérience m’a fait comprendre et apprendre qu’il y a des centres d’énergie, des centres susceptibles et capables d’emmagasiner cette énergie en l’homme. Ces centres ne sont pas les chakras, ce sont les centres solaires. Ceci nous amènerait trop loin dans ce podcast.
En attendant, sachez qu’il y a des solutions, il y a moyen de s’en sortir. A minima, instaurez en vous une vigilance de pensée. Ne laissez pas en vous s’installer n’importe quelle pensée, soyez conscient de ce qui se passe en vous, de vos pensées, et faites de même pour les émotions. On pourrait parler d’hygiène, d’une hygiène spirituelle. C’est vraiment très important pour votre bien-être, pour votre évolution propre, l’objectif est notre bien-être, notre éveil, notre bonheur, pour notre joie et notre évolution propre dans toujours plus de puissance intérieure.

Roland Perret énergéticien

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« J’ai bien le droit de m’énerver ! »

L'énervement. Étude de cas et sa résolution par la pratique solaire par Roland Perret. revelationducœur.com

« J’ai bien le droit de m’énerver ! »

Je vais vous démontrer, et j’espère que cela ne va pas vous énerver encore plus, que cette affirmation est une profonde bêtise.
Oui bien sûr, s’énerver n’est pas interdit par la loi. Et puis, tout le monde le fait n’est-ce pas ? Pourquoi devrais-je m’en priver ?
Entendu, mais c’est un acte qui a ses conséquences plus importantes que ce que l’on imagine ordinairement. Vous rétorquerez peut-être que si vous ne vous énervez pas, si vous acceptez le motif de ce qui vous énerve, si vous laissez faire, ce sera l’anarchie, le désordre. Parce que lorsque vous vous énervez, c’est toujours dans une volonté de justice, n’est-ce pas ? Et puis même, quand vous admettez parfois que votre comportement ou vos paroles à ce moment-là ont été excessifs et que vous avez causé de la souffrance à l’autre, vous arguerez peut-être que c’est un comportement bien ordinaire et puis cela met un peu de piment dans la vie qui sans cela serait certainement bien monotone…
L’énervement fait tellement partie de notre nature que nous n’avons souvent même pas besoin de l’autre pour nous mettre dans cet état et nous nous énervons tout seul…
Profitons, si tu veux bien, cher lecteur, que tu ne sois pas énervé au moment où tu lis ces lignes pour approfondir cette question de l’énervement.Tout d’abord, comment puis-je savoir que tu n’es pas énervé, exactement en ce moment ?
Tout simplement parce que l’énervement empêche de réfléchir. Il est absolument impossible pour un esprit humain de développer de la finesse d’esprit ou même de simplement comprendre vraiment un texte lorsqu’il est énervé.

Pourquoi en est-il ainsi ?

C’est un processus énergétique-physiologique.
Suite à un stimulus quelconque vécu négativement, un centre nerveux, le plexus solaire, entre en vibration. « Ça bouillonne dans le creux de l’estomac ».
Imaginons un exemple :
A et B s’affairent dans la cuisine.
A pose un verre sur la table.
B se retourne et n’ayant pas vu le verre, le renverse.
B pousse un « oooh, m…! »
A, voyant B perturbé, désire l’aider à retrouver sa sérénité. : « Ce n’est pas grave… »
B rétorque avec reproche : « Tu aurais pu le mettre ailleurs ! » et rajoute « c’est toujours comme ça avec toi ! »
A est surpris et blessé, il ne sait plus quoi faire et rétorque « tu aurais pu faire attention, je ne pouvais pas prévoir…»
B: « Evidemment, c’est à moi la faute ! »
Je vous laisse imaginer la suite. A aurait pu prendre la fuite aussi, mais avec une charge résiduelle dans le plexus solaire.
Pour comprendre ce qui s’est passé là, il faut savoir que le chakra du plexus solaire est responsable de la gestion du je et du monde qui l’entoure.
Si son rayonnement n’est pas «solide», c’est qu’il y a des problématiques par exemple de manque de confiance en soi, un manque de reconnaissance sociale ou des peurs quelconques. Si, dans cet état de faiblesse chakrique, un événement survient qui échappe au contrôle de l’individu, la réponse énergétique-physiologique est immédiate.
La glande associée au chakra du plexus solaire (à ne pas confondre avec le chakra solaire) est le pancréas. 
La fonction exocrine du pancréas, qui est normalement de produire des enzymes qui vont digérer le trop-plein d’aliments, va interpréter un trop-plein d’informations émotionnelles indigestes et se met à produire ses enzymes.
« On se fait de la bile », rappelle le langage courant. Le malaise est là, acide, insupportable.
Au démarrage du processus, la vibration est légère et échappe facilement à la perception consciente. C’est à ce moment qu’elle pourrait être aisément maîtrisée mais elle augmente rapidement, le sang se chargeant de drainer l’information au cerveau avec pour conséquence première d’altérer la perception globale des événements de manière négative.
Il est possible que le message du corps étant erroné, le fonctionnement du cerveau soit troublé. C’est une alerte, il se sent en danger, et donc l’attention devient exacerbée. Ce qui peut expliquer que les circonstances dans lesquelles nous nous trouvons alors et qui sont « neutres » soient perçues avec un a priori négatif. La mécanique est lancée, l’emballement est fatal. La gêne devient colère.
Sur le plan énergétique, la vibration a généralement à ce moment-là franchi le diaphragme et envahi la sphère globale de la cage thoracique. Le chakra du cœur est perturbé. La respiration est modifiée et du gaz carbonique est produit en excès. Ce gaz est vécu comme un poison par la victime de l’énervement et doit impérativement être expulsé. C’est l’action dispersante du sas énergétique de la gorge qui remplit cette fonction et c’est à ce moment-là que l’on entend les râles, les « aah ! » et les « ooh ! » qui viennent des tripes.
Souvent, le malaise organique vécu entraîne des gestes ou des paroles de mécontentement ou d’agressivité.
Le vécu psychique est à ce moment de l’ordre de la tristesse ou de l’accablement. Le cerveau est comme gazé, intoxiqué par des messages chimiques destructifs.
Si la personne est seule, elle va devoir attendre que ça passe. En effet, l’intoxication de la sphère psychique finit par se dissiper avec le temps. À moins, bien sûr, qu’une longue rumination mentale-émotionnelle entretienne le mécanisme de cet étouffement de l’esprit. Si ce type de stress est récurrent, les dommages sur la santé sont assez connus pour qu’il ne soit pas nécessaire de les évoquer ici.
Si la personne énervée n’est pas seule, son cerveau en alerte interprétera les actes neutres ou même bienveillants de l’autre de manière négative. Le psychisme intoxiqué croira percevoir de la bêtise, de la maladresse, voire de la malveillance dans les actions pourtant dénuées de tout cela. La moindre broutille devient prétexte à l’expression du mécontentement.
La personne énervée vit un malaise qu’elle ne perçoit pas consciemment et projette la responsabilité de ce désagrément sur l’autre. Les paroles maladroites et les reproches fusent.

Pourquoi cette personne fait-elle cela ?

Elle ne se sent déjà pas bien. Si en plus, elle s’estimait responsable de ce qu’elle vit, cela rajouterait une charge supplémentaire insupportable à son désagrément. Incapable d’accepter qu’elle seule est responsable de l’émotion qu’il la submerge, elle va chercher un coupable à l’acte qui a provoqué le désordre : l’autre, les autres, la société, le gouvernement, etc.
L’autre personne en présence, qui n’a rien vu venir, peut se retrouver attaquée verbalement ou par un geste d’agacement manifeste. Elle vit cela comme une injustice et cela l’énerve évidemment… Elle ressent à son tour une tension dans le ventre qu’elle a besoin d’exprimer.
Vous connaissez la suite, cela monte en crescendo…
C’est le début de toutes les guerres. C’est ce qui use les couples, les relations familiales et amicales.
Si l’autre personne, en face de l’énervée, est capable d’un peu de raison ou de sagesse, elle cherchera à faire prendre conscience à la personne du non fondé et de l’inutilité de son énervement. Et c’est là qu’elle peut se voir répondre :
« J’ai bien le droit de m’énerver ! »
C’est bien là que réside la bêtise. L’acquiescement dans la sphère mentale de la valeur de ce trouble et de sa réaction virulente est une erreur lourde de conséquences.
En affirmant cette ineptie, je justifie intellectuellement, mentalement, une immaturité émotionnelle. Comment, dans ce cas, pourrait-on même imaginer qu’il puisse y avoir un l’espoir de résolution de cette problématique ? Si je revendique qu’il est juste que je me mette dans un tel état de dégradation, j’autorise mon corps à se mettre dans tous ses états. Comment pourrais-je dépasser un jour une telle attitude ? Si je ne suis pas capable de gérer correctement un petit énervement, comment serais-je capable de gérer un véritable problème ?
La principale justification mentale de l’énervement est que si je n’explose pas, le désordre va continuer à régner. L’énervé est dans l’illusion qu’il faut bien réagir pour régler le soi-disant problème. Il est incapable de voir que le véritable problème est justement dans sa ré-action émotionnelle et qu’il est incapable dans son état d’action raisonnée.
Prosaïquement, l’énervé ne se sent pas bien et il veut se défaire de son mal-être. C’est tout à fait naturel. Mais l’étouffement de son esprit le rend incapable d’un comportement adéquat.
Lui étant impossible de voir son erreur, il affirmera souvent avec force le bien-fondé de son irritation.
Rappelons ici que l’immaturité émotionnelle est la cause principale de tous les désordres.
Les actions régulatrices et puissantes, celles qui nous apportent vraiment une solution à nos problématiques, ne sont jamais le fruit des tourments de l’émotion, mais bien d’une analyse posée et raisonnée.
Justifier son énervement est donc bien une bêtise.

Mais comment résoudre ce problème ?

Avant d’aborder une proposition de résolution, voyons ensemble ce qu’il est possible de réparer.
Les énervements occasionnent la plupart du temps des actes ou des paroles blessantes.
Ces blessures occasionnées à l’autre peuvent devenir facilement des bombes à retardement. Ce sont souvent des coups portés au ventre de ceux que l’on aime. Aussi, il est important de panser les plaies que nous avons occasionnées en nous excusant, tout simplement. S’excuser est une marque d’intelligence qui exprime la prise de conscience que nous avons été un moment débordé et que nous n’avons pas été tout à fait nous-mêmes dans la relation.
S’excuser n’est pas se diminuer devant l’autre mais lui montrer du respect et de manière encore plus profonde, de nous montrer du respect à nous-mêmes.
Le fait de s’excuser désamorce la fausse identification à l’être faible que nous avons été et renforce l’identification à l’être juste et courageux que nous voulons être.
Voilà pour une tentative de réparation des dégâts causés mais qu’en est-il d’une solution réelle ?
Une véritable solution demande du travail sur soi et est difficile.
Cela demande de la présence d’esprit. Je traduis : être suffisamment conscient de son corps pour percevoir le trouble naissant puis être capable de l’éradiquer par un mouvement de sa volonté.
La présence d’esprit est l’axe principal de notre croissance intérieure.
Si mon esprit est présent, je vais être capable de percevoir le réel.
La réalité, dans le cas de l’énervement, est un trouble que je ressens dans mon corps.
Je le vois.
Je perçois directement le caractère indésirable de ce trouble.
Je ne lui donne pas l’autorisation de monter en moi. Je ne laisse pas la vibration passer au-dessus de mon diaphragme.
Cela reste une sensation désagréable mais qui n’envahit par mon corps et surtout pas ma psyché. Il n’y a pas de charge de gaz carbonique excessive et donc pas de râle.
Il n’y a pas de recherche de coupable, pas de reproche à faire à l’autre.
Il n’y a besoin d’aucune justification mentale à aucun acte négatif.
Cela est uniquement possible si mon mental n’a pas été embrumé. Il est donc absolument indispensable d’enrayer cette mécanique malsaine au plus près de son émergence.Le secret de la réussite consiste en la possession d’une bonne dose de présence d’esprit.
Comment acquérir plus de présence d’esprit ?
C’est l’objectif de toute démarche intérieure bien comprise et c’est le propos même de l’art solaire qui traite de son accumulation et de sa croissance.

Roland Perret
Energéticien en art solaire

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Guidance audio de rechargement N°1 – la corde

Technique de rechargement énergétique. Roland Perret énergéticien https://revelationducoeur.com
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LE RECHARGEMENT

Il existe trois types d’exercices de base pour se hisser à un niveau vibratoire supérieur à nos états dits « ordinaires ». La protection, le nettoyage et le rechargement. C’est une trilogie d’exercices qui vous permettront d’assurer votre équilibre. Pour les deux premières séries d’exercices, à pratiquer impérativement avant le rechargement, je vous renvoie aux audios spécifiques présents sur le site.

Pourquoi « impérativement » opérer une protection et un nettoyage avant la recharge ?

La réponse est logique: il s’agit de se protéger des énergies et des influences négatives émanant de certains êtres éthériques qui nous entourent. C’est la fonction des pratiques de protection. 
D’autre part, il s’agit d’harmoniser son champ émotionnel, c’est la fonction des pratiques de nettoyage.
Avant de booster ses énergies, il faut donc s’assurer d’être « propre » afin de ne pas élever le taux vibratoire de nos énergies plus ou moins négatives.

Je rappelle qu’il s’agit de pratiques de soutien par rapport à une pratique essentielle comme celle de la pratique solaire qui inclut à la fois protection, nettoyage et recharge et assure un développement bien au-delà de cette saine « mise à niveau » de notre être.
Ces pratiques de soutien sont cependant très utiles, surtout si l’on n’a pas la chance de pouvoir pratiquer avec une personne ayant maîtrisé ses énergies et acquis tout au moins un début de développement solaire. Celui-ci sera apte à libérer, nettoyer ou dynamiser les éléments qui en ont besoin pour autoriser un développement accéléré de votre propre avancée.

Le principe du rechargement par les pieds et le bassin


Les reins, réservoirs de notre vitalité, appelés “racine de vie” en médecine traditionnelle chinoise sont en lien avec le Dan Tian inférieur, le centre énergétique du bas-ventre. Le premier point du méridien des reins est le seul point se situant sous notre pied, une des portes énergétiques permettant de se relier à la Terre-Mère.
C’est pourquoi l’exercice de rechargement et d’ancrage le plus courant consiste à générer une racine à partir de la plante de pieds. Mais l’exercice qui fait l’objet de la guidance présente s’opère directement par le bassin et est certainement plus efficace parce que plus direct et s’accompagnant de plus des bienfaits la concentration sur le centre Dan Tian, appellé aussi Hara.

Je ne développerai pas ici les atouts d’un bon ancrage qui relie le haut et le bas, le spirituel et le matériel. L’aspect rechargement de cet exercice vous permettra d’accéder, à tout moment à une source inépuisable de vitalité.
J’ai pratiqué personnellement cet exercice durant des années, palliant surtout aux baisses de régime dues à la fatigue lors de mes chantiers de fresques murales. Terminés les « coups de pompes » sur les échafaudages ! Je devenais même capable de redynamiser dans la bonne humeur mes équipes lorsqu’elles faiblissaient.
Avec le temps, le rechargement devient quasi instantané pour répondre aux besoins du corps, et c’est le cas tout autant pour les protections et les nettoyages. L’équilibre ainsi atteint facilite grandement notre avancée spirituelle et instille un effet secondaire très sympathique : le bonheur…

Roland Perret
Énergéticien solaire

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Les pratiques de soutien

Pratique de soutien. Les chakras et la pratique solaire par Roland Perret énergéticien https://revelationducoeur.com
Pratique de soutien. Les chakras et la pratique solaire par Roland Perret énergéticien https://revelationducoeur.com

LE TRAVAIL DE SOUTIEN

Il est bien entendu que la pratique solaire concerne la croissance de notre identité réelle, celle de l’être essentiel en nous, l’être divin.
Notre moi transitoire, notre personnalité, notre corporéité, nos corps subtils ne sont que l’enveloppe portant en son sein la programmatique divine qui ne demande qu’à se développer. Il s’agit d’opérer un « intervertissement » de personnalité, plus qu’une croissance unilatérale. Le moi ordinaire apprend à collaborer avec le moi divin, il profite ainsi très largement de ses bienfaits et accède à la paix, à l’équilibre, et au bonheur.

La pratique pure solaire implique l’effort de l’élévation du moi ordinaire à son taux vibratoire maximum.
Devant les difficultés rencontrées par certains élèves, la mise en place d’un travail de soutien s’avère utile.
Le pratiquant assidu y trouvera des outils de facilitation de gestion intérieure.

En quoi consiste ce travail de soutien à la pratique solaire ?

Encore une fois, le corps, l’âme (émotionnelle) et le mental sont sollicités.
Il s’agit d’un travail sur l’esprit, consistant, en grande partie de concentrations, de visualisations (nidra yoga), de techniques énergétiques, de travaux sur la vibration de la couleur ainsi qu’une stimulation de tous les sens (ouïe, odorat, toucher, audition, goût). C’est un travail sur les chakras et sur le centre dans la tête et il est important de ne pas le confondre avec le travail solaire à proprement parler.
L’objectif est d’apprendre la gestion de ses états intérieurs. Savoir en un instant se libérer de ses accaparations émotionnelles ou mentales, apprendre à se protéger sur le plan énergétique, stimuler ses facultés de concentration… En bref, mieux connaître sa complexion humaine pour mieux la mettre au service de l’activation de son cœur solaire.

Le travail de soutien sera mené à la demande et selon les spécificités des problématiques.

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Distinction entre le chakra du cœur et le cœur solaire

Coeur solaire et sa différence avec le chakra du cœur par Roland Perret énergéticien. revelationducœur.com

DINSTINCTION ENTRE LE CHAKRA DU CŒUR ET LE CŒUR SOLAIRE

Dans la pratique de l’éveil du cœur solaire, il est bien spécifié la différence entre le chakra du cœur et le cœur solaire. Pourquoi ?
Comme il souvent difficile de faire cette distinction très importante, je vous ai dessiné ces centres avec quelques explications.
Les chakras, et donc le chakra cardiaque, sont les régulateurs de notre personnalité humaine. Une de leurs fonctions est de, par le biais des glandes endocrines, distribuer l’énergie vitale dans le corps. Leur développement entraîne une culture de la personnalité qui peut apporter de magnifiques résultats sur le plan spirituel.
Cependant, ils ne peuvent pas amener à la libération solaire.
Seuls l’éveil et le développement d’un centre de l’être essentiel en l’homme, comme le cœur solaire, est capable de réaliser la pleine potentialité de l’homme réel.

Le chakra du cœur

Nourri énergétiquement par la rate comme les autres chakras, il gouverne la vie émotionnelle-mentale en correspondance avec la glande endocrine du thymus. Son développement automatique peut conduire à une harmonisation des sentiments mais peut également être responsable de troubles cardiaques ou neurologiques.
Un travail sur les chakras sera un stimulateur de croissance pour la personnalité « inférieure » mais n’est pas un activateur direct du déploiement de l’essence de l’être essentiel que nous sommes.

Le cœur solaire

 Stimulé énergétiquement par l’influx magnétique d’un enseignant solaire et entretenu par une pratique assidue et une attitude qualitative correcte, il développe l’être essentiel vers sa pleine maturation.
Il apporte le plein développement des chakras de manière indirecte, plaçant ainsi la personnalité « inférieure » toute entière au service de la lumière.