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L’enfant intérieur…mais lequel ?

L'enfant intérieur, mais lequel. Entretien avec Roland Perret É nergéticien en art solaire. revelationducoeur.com

Il y a deux enfants intérieurs.
Description de la lente perte du sens de l’enfant solaire au profit de l’enfant blessé.
Jung, en 1940, figure charnière de cette transition.

Le premier enfant intérieur est un enfant lumineux, inaltérable, royal. Il est l’âme astrale, susceptible d’un développement, d’une croissance, ce qui est l’objectif de son incarnation.
Cité par exemple dans les Upanishads (Inde entre 800 et 500 avant notre ère)
C’est lui «l’enfant enfermé dans la caverne secrète», dont parle le Rig-Véda ,
«le fils du ciel par le corps de la terre»,
«lui qui est éveillé dans ceux qui dorment».
«Il est là, au milieu de la demeure»,
«Il est comme la vie et comme le souffle de notre existence, il est comme notre enfant éternel» ,
il est «le Roi brillant qui nous était caché».

Un autre enfant intérieur, fragile et blessé qui demande à être guéri, consolé, intégré. C’est l’aspect fragile du véhicule d’incarnation. L’archétype représentant les irrésolutions du temps de lenfance qu’il faut amener à la lumière de la conscience.
Découvert par Carl Gustav Jung, le « Puer aeternus »:
« Car il y a dans l’adulte un enfant, un enfant éternel toujours en état de devenir, jamais terminé, qui aurait besoin constamment de soins, d’attention et d’éducation. »
Pour résoudre les petits programmes d’immaturité de l’enfant blessé, il peut suffire de descendre dans l’inconscient avec la seule lumière du mental conscient, discursif. Mais pour résoudre les problématiques de taille, liées aux vies antérieures, par exemple, il faut descendre avec une lumière supérieure, supramentale qui pourra dissoudre les problématiques à notre place.
C’est une élévation du taux vibratoire qui est nécessaire pour répondre correctement au nettoyage de la personnalité.
En conclusion, plutôt que de chercher à résoudre les problématiques négatives de la personnalité, il est préférable d’élever sa propre nature, ce qui résoudra les failles de la personnalité mais surtout accomplira le plus important: le but même de l’incarnation: la croissance effective de l’être.
Il est primordial de se hisser au niveau de l’enfant éternel, ce qui aura pour conséquence annexe de guérir l’enfant intérieur mémoriel et transitoire.

Roland Perret Énergéticien

Une réflexion au sujet de « L’enfant intérieur…mais lequel ? »

  1. Merci Roland, très beaux partage, j aime bien l image que vous avez mis, l ombre et la lumière, toujours dans la dualité, je ne sais pas pourquoi mais je n ai jamais adhéré à l enfant intérieur telle que nous le vendait ….la spiritualité. Bonne journée. Agnès
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